Pour le métropolite grec-orthodoxe de Beyrouth, Élias Audi, le Liban est actuellement confronté «à une obstruction suspecte à l'élection d'un président, ce qui contribue à la désintégration du pouvoir et à la dissolution de l'État libanais».
Lors de son homélie du dimanche, Mgr Audi a dénoncé que les dirigeants libanais, «qu’ils soient fonctionnaires ou membres de partis politiques, mettent en priorité leurs petits intérêts personnels au détriment de l’intérêt général».
«Notre problème au Liban est que chaque (…) être humain cherche uniquement ce qui lui convient, ce qui sert ses intérêts et nourrit son orgueil, sa soif de pouvoir et son avidité pour l'argent», a-t-il déploré.
Plus grave encore, selon le métropolite grec-orthodoxe de Beyrouth, ce «sont les erreurs commises par les responsables politiques» qui ont rendu la situation du pays et de sa population «invivable».
À savoir l’«incapacité des autorités compétentes à trouver des solutions sérieuses pour remédier aux nombreux problèmes qui empoisonnent la vie des Libanais, dont, en premier lieu, l'effondrement de l'économie et la manière de restituer leurs économies aux citoyens. Sans oublier, la guerre qui sévit sur le front sud depuis le 8 octobre 2023 et dont les conséquences sont subies par les Libanais, sans qu'ils y aient consenti», a aussi déploré Mgr Audi.
Il a également dénoncé «la détérioration des mœurs, le chaos dans le secteur de l'éducation et la perte d'étudiants à la suite de décisions aléatoires qui ont contribué à l'affaiblissement du niveau éducatif».
Le métropolite de Beyrouth a alors exhorté «toutes les parties», avec à leur tête «les députés, à remédier à cette situation insoutenable».
Selon Mgr Audi, il incombe aux parlementaires «d'appliquer la Constitution libanaise –telle qu'elle est – en élisant un président dans les plus brefs délais afin que les institutions puissent reprendre un travail régulier et productif basé sur l'honnêteté, la sincérité et la recherche de l’intérêt général».
Lors de son homélie du dimanche, Mgr Audi a dénoncé que les dirigeants libanais, «qu’ils soient fonctionnaires ou membres de partis politiques, mettent en priorité leurs petits intérêts personnels au détriment de l’intérêt général».
«Notre problème au Liban est que chaque (…) être humain cherche uniquement ce qui lui convient, ce qui sert ses intérêts et nourrit son orgueil, sa soif de pouvoir et son avidité pour l'argent», a-t-il déploré.
Plus grave encore, selon le métropolite grec-orthodoxe de Beyrouth, ce «sont les erreurs commises par les responsables politiques» qui ont rendu la situation du pays et de sa population «invivable».
À savoir l’«incapacité des autorités compétentes à trouver des solutions sérieuses pour remédier aux nombreux problèmes qui empoisonnent la vie des Libanais, dont, en premier lieu, l'effondrement de l'économie et la manière de restituer leurs économies aux citoyens. Sans oublier, la guerre qui sévit sur le front sud depuis le 8 octobre 2023 et dont les conséquences sont subies par les Libanais, sans qu'ils y aient consenti», a aussi déploré Mgr Audi.
Il a également dénoncé «la détérioration des mœurs, le chaos dans le secteur de l'éducation et la perte d'étudiants à la suite de décisions aléatoires qui ont contribué à l'affaiblissement du niveau éducatif».
Le métropolite de Beyrouth a alors exhorté «toutes les parties», avec à leur tête «les députés, à remédier à cette situation insoutenable».
Selon Mgr Audi, il incombe aux parlementaires «d'appliquer la Constitution libanaise –telle qu'elle est – en élisant un président dans les plus brefs délais afin que les institutions puissent reprendre un travail régulier et productif basé sur l'honnêteté, la sincérité et la recherche de l’intérêt général».
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