Le leader du Courant patriotique libre (CPL), Gebran Bassil, a insisté sur la nécessité d’effectuer des consultations globales «en vue de parvenir à un consensus ou à des élections pour mettre un terme à la vacance présidentielle».
M. Bassil s’exprimait ainsi jeudi, lors d’un point presse tenu au siège de son parti à Mirna Chalouhi, au cours duquel il a présenté les résultats de sa tournée auprès des différents partis politiques pour tenter de débloquer l’impasse présidentielle.
Il a souligné qu’un «accord a été conclu avec le président du Parlement, Nabih Berry, pour privilégier le consensus sur un candidat à la présidence avant les élections». Selon M. Bassil, cela assurera «une chance de succès au mandat présidentiel».
Toutefois, pour que ces consultations puissent aboutir, le leader du CPL a émis des conditions. «La garantie est que ceux qui participent au dialogue s'engagent à ne pas boycotter les sessions électorales, que la période de consultation soit limitée (dans le temps) et que les sessions électorales soient consécutives pour parvenir à un résultat».
M. Bassil a également révélé que, durant sa tournée, il a observé une «volonté de la part du chef du Parlement, Nabih Berry, ainsi que de toutes les autres parties, de convenir que «le dialogue (envisagé) ne sera pas coutume, mais une exception vu «les circonstances exceptionnelles qui nécessitent l’élection d’un président».
M. Bassil s’exprimait ainsi jeudi, lors d’un point presse tenu au siège de son parti à Mirna Chalouhi, au cours duquel il a présenté les résultats de sa tournée auprès des différents partis politiques pour tenter de débloquer l’impasse présidentielle.
Il a souligné qu’un «accord a été conclu avec le président du Parlement, Nabih Berry, pour privilégier le consensus sur un candidat à la présidence avant les élections». Selon M. Bassil, cela assurera «une chance de succès au mandat présidentiel».
Toutefois, pour que ces consultations puissent aboutir, le leader du CPL a émis des conditions. «La garantie est que ceux qui participent au dialogue s'engagent à ne pas boycotter les sessions électorales, que la période de consultation soit limitée (dans le temps) et que les sessions électorales soient consécutives pour parvenir à un résultat».
M. Bassil a également révélé que, durant sa tournée, il a observé une «volonté de la part du chef du Parlement, Nabih Berry, ainsi que de toutes les autres parties, de convenir que «le dialogue (envisagé) ne sera pas coutume, mais une exception vu «les circonstances exceptionnelles qui nécessitent l’élection d’un président».
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