Le secrétaire général du Conseil de coopération du Golfe (CCG), Jassem al-Budaiwi, a condamné «l’approbation, par les forces israéliennes, du plan visant à mener une attaque contre le Liban», insistant sur la «nécessité d’appliquer la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies». Ce plan d’offensive au Liban a été approuvé par l’armée israélienne, le 18 juin dernier, après l’intensification des affrontements entre le Hezbollah et Israël à la frontière entre le Liban et l’État hébreu.
Dans un communiqué publié vendredi, M. Al-Budaiwi a appelé «à l’arrêt de toutes les opérations militaires au Liban», rappelant l’importance «de la mise en œuvre de la résolution 2735 du Conseil de sécurité, datant du 10 juin dernier, et portant sur un cessez-le-feu et sur la fin des attaques dans la bande de Gaza». On rappelle qu’en vertu de cette résolution, les parties en conflit – Israël et le Hamas – «sont invitées à suivre un plan de paix en trois étapes qui garantit la cessation des hostilités, le retour des otages et enfin la reconstruction de Gaza, tout en gardant vivace la vision de la solution à deux États».
Manifestant sa crainte d’une escalade militaire au Liban, le secrétaire général du CCG, qui regroupe six pays de la péninsule Arabique, a incité toutes les parties prenantes «à faire preuve de retenue pour garder la région et les populations à l'abri des dangers de la guerre et de ses répercussions».
Il a, par ailleurs, réitéré «le soutien du CCG au Liban, à sa souveraineté, sa sécurité, sa stabilité et son intégrité territoriale».
Dans un communiqué publié vendredi, M. Al-Budaiwi a appelé «à l’arrêt de toutes les opérations militaires au Liban», rappelant l’importance «de la mise en œuvre de la résolution 2735 du Conseil de sécurité, datant du 10 juin dernier, et portant sur un cessez-le-feu et sur la fin des attaques dans la bande de Gaza». On rappelle qu’en vertu de cette résolution, les parties en conflit – Israël et le Hamas – «sont invitées à suivre un plan de paix en trois étapes qui garantit la cessation des hostilités, le retour des otages et enfin la reconstruction de Gaza, tout en gardant vivace la vision de la solution à deux États».
Manifestant sa crainte d’une escalade militaire au Liban, le secrétaire général du CCG, qui regroupe six pays de la péninsule Arabique, a incité toutes les parties prenantes «à faire preuve de retenue pour garder la région et les populations à l'abri des dangers de la guerre et de ses répercussions».
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