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- Bahaa Hariri à Beyrouth: le Courant du Futur s’inquiète
©JOSEPH BARRAK / AFP
On aurait exprimé, dans les milieux du Courant du Futur, un mécontentement à l’égard de la visite de Bahaa Hariri au Liban. Cette inquiétude serait causée par la tentative présumée de Bahaa de se construire une popularité en l’absence de son frère Saad.
Ce qui inquièterait le Futur, ce sont les contacts que Bahaa compte effectuer auprès des forces politiques sunnites, en vue de redorer le blason du courant qu’il a fondé et nommé Al-Massar.
Une personnalité politique libanaise aurait déclaré, depuis Paris, que «Saad Hariri ne projette pas de rentrer prochainement à Beyrouth, du moins pas avant l’élection d’un président de la République et la fin du mandat du Parlement actuel».
«Saad restera à Abu Dhabi jusqu’à ce que les circonstances soient favorables à son retour au Liban et que sa présence soit requise», aurait-on affirmé de même source.
Par ailleurs, une personnalité du courant du 14 Mars aurait rapporté, citant Saad Hariri, que «son pari sur les forces politiques libanaises, afin de construire un État prospère, était perdu».
«Les forces politiques qui auraient dû avoir des positions souverainistes ont préféré d’autres allégeances étrangères, ce qui a entraîné le démantèlement des forces du 14 Mars», selon la même source.
Ce qui inquièterait le Futur, ce sont les contacts que Bahaa compte effectuer auprès des forces politiques sunnites, en vue de redorer le blason du courant qu’il a fondé et nommé Al-Massar.
Une personnalité politique libanaise aurait déclaré, depuis Paris, que «Saad Hariri ne projette pas de rentrer prochainement à Beyrouth, du moins pas avant l’élection d’un président de la République et la fin du mandat du Parlement actuel».
«Saad restera à Abu Dhabi jusqu’à ce que les circonstances soient favorables à son retour au Liban et que sa présence soit requise», aurait-on affirmé de même source.
Par ailleurs, une personnalité du courant du 14 Mars aurait rapporté, citant Saad Hariri, que «son pari sur les forces politiques libanaises, afin de construire un État prospère, était perdu».
«Les forces politiques qui auraient dû avoir des positions souverainistes ont préféré d’autres allégeances étrangères, ce qui a entraîné le démantèlement des forces du 14 Mars», selon la même source.
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