Le concours international «Ma Thèse en 180 secondes» célèbre ses dix ans. Yara Mahfouz, de l’Université Saint-Joseph, remporte l’édition libanaise et représentera le pays à la finale internationale.
Le concours international de vulgarisation scientifique «Ma Thèse en 180 secondes» (MT180) fête cette année ses dix ans d’existence. Cet événement marquant sera célébré lors de la finale internationale, organisée par l’Agence universitaire de la francophonie (AUF), en novembre prochain à Abidjan, en Côte d’Ivoire. Les meilleurs doctorants francophones, qualifiés lors des finales nationales coorganisées par l’AUF dans 27 pays, participeront à cette finale internationale. Parmi eux, Yara Mahfouz, doctorante à l’Université Saint-Joseph, aura l’honneur de défendre les couleurs du Liban.
Le défi de «Ma Thèse en 180 secondes» consiste à exposer son sujet de recherche en français de manière claire, concise et convaincante, en seulement trois minutes. Ce concours permet de rendre les sciences accessibles au grand public et offre aux doctorants l’opportunité de valoriser leurs travaux scientifiques en développant leurs compétences communicationnelles. L’exercice leur permet d’acquérir une aisance à transmettre, de valoriser leurs compétences et d’assurer une meilleure visibilité à leurs recherches, quelle que soit la suite de leur carrière.
Au Liban, l’AUF et le Conseil national de la recherche scientifique du Liban (CNRS Liban) sont partenaires sur cette compétition depuis sept ans. Pour l’édition 2024, douze doctorants francophones, onze femmes et un homme, provenant de différentes universités libanaises (Université Libanaise, Université Saint-Joseph de Beyrouth et Université Saint-Esprit de Kaslik) et issus de disciplines scientifiques et littéraires diversifiées, ont participé à la finale nationale.
Le jury, composé de M. Jean-Noël Baléo, directeur régional de l’AUF Moyen-Orient, de Mme Tamara Elzein, secrétaire générale du CNRS Liban, et de Mme Nada Merhi, rédactrice en chef au média francophone en ligne Ici Beyrouth, a eu la lourde tâche de départager les candidats au terme d’une compétition farouchement disputée.
C’est finalement Yara Mahfouz, doctorante à l’Université Saint-Joseph, qui a remporté la première place. Carla Dreij, de l’Université Libanaise, s’est octroyé la deuxième place, tandis que Yasmina Malek, également de l’Université Saint-Joseph, a complété le podium en se hissant à la troisième position.
Grâce à sa victoire, Yara Mahfouz aura l’opportunité d’être sélectionnée pour représenter le Liban lors de la grande finale internationale, prévue le 21 novembre 2024 à Abidjan, en Côte d’Ivoire.
Outre le Liban, l’AUF conduit vingt-six autres finales nationales jusqu’au 5 juillet 2024 dans les pays suivants : Albanie, Algérie, Arménie, Bénin, Bulgarie, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Congo, Côte d’Ivoire, Égypte, Gabon, Géorgie, Haïti, Madagascar, Mali, Maurice, Mauritanie, Moldavie, Niger, République démocratique du Congo, Roumanie, Sénégal, Tchad, Togo et Tunisie.
Créée en 1961, l’AUF est aujourd’hui le premier réseau universitaire au monde, regroupant plus de 1000 membres (universités, grandes écoles et centres de recherche) dans près de 120 pays. Révélateur du génie de la Francophonie scientifique à travers le monde, l’AUF est une organisation internationale à but non lucratif qui agit pour un meilleur développement des systèmes éducatifs et universitaires, en pensant mondialement la francophonie scientifique et en agissant régionalement, dans le respect de la diversité.
Le concours international de vulgarisation scientifique «Ma Thèse en 180 secondes» (MT180) fête cette année ses dix ans d’existence. Cet événement marquant sera célébré lors de la finale internationale, organisée par l’Agence universitaire de la francophonie (AUF), en novembre prochain à Abidjan, en Côte d’Ivoire. Les meilleurs doctorants francophones, qualifiés lors des finales nationales coorganisées par l’AUF dans 27 pays, participeront à cette finale internationale. Parmi eux, Yara Mahfouz, doctorante à l’Université Saint-Joseph, aura l’honneur de défendre les couleurs du Liban.
Le défi de «Ma Thèse en 180 secondes» consiste à exposer son sujet de recherche en français de manière claire, concise et convaincante, en seulement trois minutes. Ce concours permet de rendre les sciences accessibles au grand public et offre aux doctorants l’opportunité de valoriser leurs travaux scientifiques en développant leurs compétences communicationnelles. L’exercice leur permet d’acquérir une aisance à transmettre, de valoriser leurs compétences et d’assurer une meilleure visibilité à leurs recherches, quelle que soit la suite de leur carrière.
Au Liban, l’AUF et le Conseil national de la recherche scientifique du Liban (CNRS Liban) sont partenaires sur cette compétition depuis sept ans. Pour l’édition 2024, douze doctorants francophones, onze femmes et un homme, provenant de différentes universités libanaises (Université Libanaise, Université Saint-Joseph de Beyrouth et Université Saint-Esprit de Kaslik) et issus de disciplines scientifiques et littéraires diversifiées, ont participé à la finale nationale.
Le jury, composé de M. Jean-Noël Baléo, directeur régional de l’AUF Moyen-Orient, de Mme Tamara Elzein, secrétaire générale du CNRS Liban, et de Mme Nada Merhi, rédactrice en chef au média francophone en ligne Ici Beyrouth, a eu la lourde tâche de départager les candidats au terme d’une compétition farouchement disputée.
C’est finalement Yara Mahfouz, doctorante à l’Université Saint-Joseph, qui a remporté la première place. Carla Dreij, de l’Université Libanaise, s’est octroyé la deuxième place, tandis que Yasmina Malek, également de l’Université Saint-Joseph, a complété le podium en se hissant à la troisième position.
Grâce à sa victoire, Yara Mahfouz aura l’opportunité d’être sélectionnée pour représenter le Liban lors de la grande finale internationale, prévue le 21 novembre 2024 à Abidjan, en Côte d’Ivoire.
Outre le Liban, l’AUF conduit vingt-six autres finales nationales jusqu’au 5 juillet 2024 dans les pays suivants : Albanie, Algérie, Arménie, Bénin, Bulgarie, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Congo, Côte d’Ivoire, Égypte, Gabon, Géorgie, Haïti, Madagascar, Mali, Maurice, Mauritanie, Moldavie, Niger, République démocratique du Congo, Roumanie, Sénégal, Tchad, Togo et Tunisie.
Créée en 1961, l’AUF est aujourd’hui le premier réseau universitaire au monde, regroupant plus de 1000 membres (universités, grandes écoles et centres de recherche) dans près de 120 pays. Révélateur du génie de la Francophonie scientifique à travers le monde, l’AUF est une organisation internationale à but non lucratif qui agit pour un meilleur développement des systèmes éducatifs et universitaires, en pensant mondialement la francophonie scientifique et en agissant régionalement, dans le respect de la diversité.
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