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- Israël et le Hamas pour une «gouvernance intérimaire» à Gaza
©(AFP)
Selon des informations rapportées par le Washington Post jeudi, Israël et le Hamas se seraient mis d’accord sur un plan de «gouvernance intérimaire» dans la bande de Gaza, dans le cadre de la deuxième phase d’un accord potentiel visant à mettre fin à la guerre et à libérer les derniers otages. Une source de l’administration Biden, au fait des négociations, aurait confirmé ces informations.
Selon cette même source, le plan de gouvernance intérimaire à Gaza ne s’appuierait pas sur les forces du Hamas ni sur celles d’Israël, mais ferait appel à une force composée d’environ 2.500 sympathisants de l’Autorité palestinienne dans l’enclave. Ceux-ci seront chargés des questions de sécurité après avoir été formés par des fonctionnaires américains.
Israël aurait déjà identifié ces sympathisants. Selon la source, le Hamas a déclaré aux médiateurs égyptiens et qataris qu’il était «prêt à céder le contrôle dans le cadre du règlement provisoire».
Progrès «suffisants»
Jeudi matin, les médias israéliens ont rapporté que les équipes chargées des négociations avaient regagné Israël après avoir effectué des visites «techniques» au Qatar. Celles-ci ont été organisées après que des progrès significatifs ont été réalisés dans les pourparlers. Parallèlement, une autre équipe a été envoyée au Caire pour poursuivre les discussions.
Trois principaux axes étaient au centre des pourparlers: les échange de prisonniers qui seront libérés dans le cadre de la première phase du plan, la sécurité et la présence militaire israélienne dans le sud de Gaza, le long de la frontière avec l’Égypte, ainsi que la gouvernance intérimaire, selon la chaîne qatarie Al Jazeera.
De leur côté, les États-Unis ont exprimé un «optimisme prudent» quant aux négociations sur la prise d’otages contre un cessez-le-feu à Gaza, a déclaré à CNN le porte-parole de la Maison Blanche chargé de la sécurité nationale, John Kirby, ajoutant que les divergences entre les deux parties pouvaient être réduites.
«Il y a encore des écarts entre les deux parties. Nous pensons que ces écarts peuvent être réduits et c’est ce que Brett McGurk et William Burns, directeur de la CIA, tentent de faire en ce moment», a-t-il ajouté.
Starmer à Washington
En parallèle, le nouveau Premier ministre britannique, Keir Starmer, a également souligné l’importance d’obtenir un cessez-le-feu feu lors de sa rencontre avec le président américain Joe Biden à la Maison Blanche. Bien que les discussions aient principalement porté sur l’Ukraine en raison du sommet pour les 75 ans de l’Otan, ils ont également abordé la question d’un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas pour libérer les otages et mettre fin au conflit. Les deux dirigeants ont réaffirmé leur engagement en faveur d’une solution à deux États.
Selon cette même source, le plan de gouvernance intérimaire à Gaza ne s’appuierait pas sur les forces du Hamas ni sur celles d’Israël, mais ferait appel à une force composée d’environ 2.500 sympathisants de l’Autorité palestinienne dans l’enclave. Ceux-ci seront chargés des questions de sécurité après avoir été formés par des fonctionnaires américains.
Israël aurait déjà identifié ces sympathisants. Selon la source, le Hamas a déclaré aux médiateurs égyptiens et qataris qu’il était «prêt à céder le contrôle dans le cadre du règlement provisoire».
Progrès «suffisants»
Jeudi matin, les médias israéliens ont rapporté que les équipes chargées des négociations avaient regagné Israël après avoir effectué des visites «techniques» au Qatar. Celles-ci ont été organisées après que des progrès significatifs ont été réalisés dans les pourparlers. Parallèlement, une autre équipe a été envoyée au Caire pour poursuivre les discussions.
Trois principaux axes étaient au centre des pourparlers: les échange de prisonniers qui seront libérés dans le cadre de la première phase du plan, la sécurité et la présence militaire israélienne dans le sud de Gaza, le long de la frontière avec l’Égypte, ainsi que la gouvernance intérimaire, selon la chaîne qatarie Al Jazeera.
De leur côté, les États-Unis ont exprimé un «optimisme prudent» quant aux négociations sur la prise d’otages contre un cessez-le-feu à Gaza, a déclaré à CNN le porte-parole de la Maison Blanche chargé de la sécurité nationale, John Kirby, ajoutant que les divergences entre les deux parties pouvaient être réduites.
«Il y a encore des écarts entre les deux parties. Nous pensons que ces écarts peuvent être réduits et c’est ce que Brett McGurk et William Burns, directeur de la CIA, tentent de faire en ce moment», a-t-il ajouté.
Starmer à Washington
En parallèle, le nouveau Premier ministre britannique, Keir Starmer, a également souligné l’importance d’obtenir un cessez-le-feu feu lors de sa rencontre avec le président américain Joe Biden à la Maison Blanche. Bien que les discussions aient principalement porté sur l’Ukraine en raison du sommet pour les 75 ans de l’Otan, ils ont également abordé la question d’un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas pour libérer les otages et mettre fin au conflit. Les deux dirigeants ont réaffirmé leur engagement en faveur d’une solution à deux États.
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