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- Blinken appelle «toutes les parties» au Moyen-Orient à la désescalade
Le secrétaire d'État américain Antony Blinken a appelé jeudi «toutes les parties» au Moyen-Orient à la désescalade et à parvenir «urgemment» à un cessez-le-feu à Gaza, sur fond de craintes d'un embrasement après la mort du chef du Hamas, tué à Téhéran dans une frappe imputée à Israël.
«En ce qui concerne le Moyen-Orient, la région est actuellement sur la voie de la multiplication des conflits, de la violence, de la souffrance et de l'insécurité. Il est essentiel de rompre ce cycle, et cela commence par un cessez-le-feu sur lequel nous travaillons», a déclaré le chef de la diplomatie américaine interrogé lors d'une conférence de presse en Mongolie.
Il a ajouté que cela supposait «d'abord que toutes les parties se parlent, qu'elles s'abstiennent de mesures contribuant à l'escalade, qu'elles trouvent des raisons de parvenir à un accord, et non des raisons de le retarder ou de le refuser».
Comme la veille à Singapour, M. Blinken n'a pas commenté directement la mort du chef du mouvement islamiste palestinien et il s'est refusé à «spéculer» sur l'impact que cela pouvait avoir sur un cessez-le-feu à Gaza, que les États-Unis, avec le Qatar et l'Égypte, s'efforcent de conclure depuis des semaines.
Mais, a-t-il dit, «je crois qu'il est non seulement réalisable, mais qu'il doit être réalisé».
«Il est urgent que toutes les parties fassent les bons choix dans les jours à venir, car ces choix feront la différence entre rester sur cette voie de la violence, de l'insécurité, de la souffrance, ou aller vers quelque chose de très différent et de bien meilleur pour toutes les parties concernées», a-t-il encore dit.
L'assassinat à 61 ans du chef politique du Hamas ainsi qu'une frappe israélienne qui a tué mardi le chef militaire du Hezbollah libanais, Fouad Chokr, près de Beyrouth, font redouter une contagion de la guerre qui fait rage depuis presque dix mois dans la bande de Gaza entre Israël et le Hamas.
Avec AFP
«En ce qui concerne le Moyen-Orient, la région est actuellement sur la voie de la multiplication des conflits, de la violence, de la souffrance et de l'insécurité. Il est essentiel de rompre ce cycle, et cela commence par un cessez-le-feu sur lequel nous travaillons», a déclaré le chef de la diplomatie américaine interrogé lors d'une conférence de presse en Mongolie.
Il a ajouté que cela supposait «d'abord que toutes les parties se parlent, qu'elles s'abstiennent de mesures contribuant à l'escalade, qu'elles trouvent des raisons de parvenir à un accord, et non des raisons de le retarder ou de le refuser».
Comme la veille à Singapour, M. Blinken n'a pas commenté directement la mort du chef du mouvement islamiste palestinien et il s'est refusé à «spéculer» sur l'impact que cela pouvait avoir sur un cessez-le-feu à Gaza, que les États-Unis, avec le Qatar et l'Égypte, s'efforcent de conclure depuis des semaines.
Mais, a-t-il dit, «je crois qu'il est non seulement réalisable, mais qu'il doit être réalisé».
«Il est urgent que toutes les parties fassent les bons choix dans les jours à venir, car ces choix feront la différence entre rester sur cette voie de la violence, de l'insécurité, de la souffrance, ou aller vers quelque chose de très différent et de bien meilleur pour toutes les parties concernées», a-t-il encore dit.
L'assassinat à 61 ans du chef politique du Hamas ainsi qu'une frappe israélienne qui a tué mardi le chef militaire du Hezbollah libanais, Fouad Chokr, près de Beyrouth, font redouter une contagion de la guerre qui fait rage depuis presque dix mois dans la bande de Gaza entre Israël et le Hamas.
Avec AFP
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