La fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe dévoilent la sélection officielle du Prix de la littérature arabe 2024. Sept ouvrages divers, reflétant la richesse des littératures du monde arabe, ont été retenus et seront proposés au jury.
La fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe (IMA) ont annoncé la sélection officielle du Prix de la littérature arabe 2024. Créé en 2013, ce prix met en lumière la diversité et la richesse des littératures du monde arabe. Pour cette 11e édition, sept ouvrages ont été retenus, chacun offrant un aperçu unique de la culture et de l’histoire de son pays d’origine.
Parmi les ouvrages sélectionnés, on retrouve Du pain sur la table de l’oncle Milad de Mohammed Alnaas (Libye), traduit de l'arabe par Sarah Rolfo et édité par Le bruit du monde. Ce roman explore les dynamiques familiales et sociales à travers les yeux de son protagoniste, Milad. Les Carnets d'El-Razi d’Aymen Daboussi (Tunisie), traduit par Lotfi Nia et publié par Philippe Rey [Barzakh] dans la collection Khamsa, plonge les lecteurs dans un récit riche en mystères et en réflexions philosophiques. Le palais Mawal de Dominique Eddé (Liban), publié par Albin Michel, et Le Désastre de la maison des notables d’Amira Ghenim (Tunisie), traduit par Souad Labbize et édité par Philippe Rey [Barzakh] dans la collection «Khamsa», enrichissent cette sélection avec des récits poignants et introspectifs. L’Eden à l’aube de Karim Kattan (Palestine), publié par Elyzad, et Il faut revenir d’Hala Moughanie (Liban), édité par Project’îles, complètent cette liste, offrant des perspectives distinctes sur des thèmes universels. Enfin, Bientôt les vivants d’Amina Damerdji (Algérie), édité par Gallimard, se distingue par sa narration captivante et ses personnages profondément humains.
Cette sélection souligne la diversité des sujets abordés et des styles littéraires, reflétant les voix multiples et les histoires variées des écrivains d’Algérie, du Liban, de Libye, de Palestine et de Tunisie. La pluralité culturelle et linguistique est au cœur de cette sélection, avec des œuvres écrites en français ou traduites de l'arabe vers le français, publiées par des maisons d’édition engagées.
Le jury, présidé par Pierre Leroy, administrateur délégué de la fondation Jean-Luc Lagardère, se réunira à l’automne pour délibérer et désigner le lauréat de cette édition. La cérémonie de remise du prix, doté de 10.000 euros, se tiendra le 27 novembre 2024 à l’Institut du monde arabe, en présence de Jack Lang, président de l’IMA.
Parallèlement, le Prix de la littérature arabe des lycéens, doté de 4.000 euros, sera remis le 19 décembre 2024. Ce prix implique des lycéens de l’Académie de Versailles et du réseau AEFE, qui participeront à des activités de lecture et de rencontres avec les auteurs. En 2023, Si j’avais un franc d’Abdelkrim Saifi a remporté ce prix.
La fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe (IMA) ont annoncé la sélection officielle du Prix de la littérature arabe 2024. Créé en 2013, ce prix met en lumière la diversité et la richesse des littératures du monde arabe. Pour cette 11e édition, sept ouvrages ont été retenus, chacun offrant un aperçu unique de la culture et de l’histoire de son pays d’origine.
Parmi les ouvrages sélectionnés, on retrouve Du pain sur la table de l’oncle Milad de Mohammed Alnaas (Libye), traduit de l'arabe par Sarah Rolfo et édité par Le bruit du monde. Ce roman explore les dynamiques familiales et sociales à travers les yeux de son protagoniste, Milad. Les Carnets d'El-Razi d’Aymen Daboussi (Tunisie), traduit par Lotfi Nia et publié par Philippe Rey [Barzakh] dans la collection Khamsa, plonge les lecteurs dans un récit riche en mystères et en réflexions philosophiques. Le palais Mawal de Dominique Eddé (Liban), publié par Albin Michel, et Le Désastre de la maison des notables d’Amira Ghenim (Tunisie), traduit par Souad Labbize et édité par Philippe Rey [Barzakh] dans la collection «Khamsa», enrichissent cette sélection avec des récits poignants et introspectifs. L’Eden à l’aube de Karim Kattan (Palestine), publié par Elyzad, et Il faut revenir d’Hala Moughanie (Liban), édité par Project’îles, complètent cette liste, offrant des perspectives distinctes sur des thèmes universels. Enfin, Bientôt les vivants d’Amina Damerdji (Algérie), édité par Gallimard, se distingue par sa narration captivante et ses personnages profondément humains.
Cette sélection souligne la diversité des sujets abordés et des styles littéraires, reflétant les voix multiples et les histoires variées des écrivains d’Algérie, du Liban, de Libye, de Palestine et de Tunisie. La pluralité culturelle et linguistique est au cœur de cette sélection, avec des œuvres écrites en français ou traduites de l'arabe vers le français, publiées par des maisons d’édition engagées.
Le jury, présidé par Pierre Leroy, administrateur délégué de la fondation Jean-Luc Lagardère, se réunira à l’automne pour délibérer et désigner le lauréat de cette édition. La cérémonie de remise du prix, doté de 10.000 euros, se tiendra le 27 novembre 2024 à l’Institut du monde arabe, en présence de Jack Lang, président de l’IMA.
Parallèlement, le Prix de la littérature arabe des lycéens, doté de 4.000 euros, sera remis le 19 décembre 2024. Ce prix implique des lycéens de l’Académie de Versailles et du réseau AEFE, qui participeront à des activités de lecture et de rencontres avec les auteurs. En 2023, Si j’avais un franc d’Abdelkrim Saifi a remporté ce prix.
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