©Stephanie Lecocq/ AFP
Continuer de «garantir la sécurité de nos amis Libanais» face au «risque d’embrasement» au Proche-Orient. Ces propos étaient au cœur du discours que le président français, Emmanuel Macron, a prononcé devant les troupes à la veille de leur défilé du 14 juillet.
À cette occasion, le président français a affirmé que Paris n’acceptera pas que «la mission de la Finul soit entravée ou anesthésiée» sachant que la France compte 700 militaires engagés au sein de la Force intérimaire de l’ONU (Finul) au Liban auprès d’autres partenaires.
M. Macron a ainsi rappelé que la mission des Casques bleus «est essentielle et se réalise dans des conditions dont je mesure la complexité» faisant ainsi référence, sans la nommer, à la guerre qui sévit depuis le 8 octobre 2023 entre le Hezbollah et Israël sur le front sud.
Et d’ajouter que «la résolution 1701 doit être pleinement appliquée. Notre détermination est à cet égard entière», a-t-il aussi défendu.
M. Macron a aussi souligné que le Proche-Orient «connaît également des bouleversements historiques» assurant que «la France agit pour combattre le risque d’embrasement avec le drame de Gaza, les risques qui pèsent sur le Liban ami et les différentes zones de crise».
«Avec nos alliés et nos partenaires de la région, nous veillerons à ce qu’aucune puissance, d’elle-même ou par ses supplétifs, déclenche l’embrasement redouté», a-t-il aussi assuré.
Quant à la sécurité d’Israël, le président français a estimé qu’elle «n’était pas négociable» ajoutant que «les principes de la France sont constants et qu’ils ne prêtent pas au double standard». M. Macron a aussi estimé qu’«un cessez-le-feu à Gaza est aussi nécessaire».
La Finul a été créée par le Conseil de sécurité en mars 1978 pour confirmer le retrait israélien du Liban, rétablir la paix et la sécurité internationales et aider le gouvernement libanais à restaurer son autorité effective dans la région. Au 1er juillet, la Finul comptait 10.031 soldats de la paix provenant de 49 pays fournisseurs de contingents. (Ndlr)
À cette occasion, le président français a affirmé que Paris n’acceptera pas que «la mission de la Finul soit entravée ou anesthésiée» sachant que la France compte 700 militaires engagés au sein de la Force intérimaire de l’ONU (Finul) au Liban auprès d’autres partenaires.
M. Macron a ainsi rappelé que la mission des Casques bleus «est essentielle et se réalise dans des conditions dont je mesure la complexité» faisant ainsi référence, sans la nommer, à la guerre qui sévit depuis le 8 octobre 2023 entre le Hezbollah et Israël sur le front sud.
Et d’ajouter que «la résolution 1701 doit être pleinement appliquée. Notre détermination est à cet égard entière», a-t-il aussi défendu.
M. Macron a aussi souligné que le Proche-Orient «connaît également des bouleversements historiques» assurant que «la France agit pour combattre le risque d’embrasement avec le drame de Gaza, les risques qui pèsent sur le Liban ami et les différentes zones de crise».
«Avec nos alliés et nos partenaires de la région, nous veillerons à ce qu’aucune puissance, d’elle-même ou par ses supplétifs, déclenche l’embrasement redouté», a-t-il aussi assuré.
Quant à la sécurité d’Israël, le président français a estimé qu’elle «n’était pas négociable» ajoutant que «les principes de la France sont constants et qu’ils ne prêtent pas au double standard». M. Macron a aussi estimé qu’«un cessez-le-feu à Gaza est aussi nécessaire».
La Finul a été créée par le Conseil de sécurité en mars 1978 pour confirmer le retrait israélien du Liban, rétablir la paix et la sécurité internationales et aider le gouvernement libanais à restaurer son autorité effective dans la région. Au 1er juillet, la Finul comptait 10.031 soldats de la paix provenant de 49 pays fournisseurs de contingents. (Ndlr)
Lire aussi
Commentaires