Les fédérations et les syndicats du secteur des transports terrestres au Liban ont tenu, lundi, une réunion présidée par Bassam Tlais, en présence notamment du président de la Confédération générale des travailleurs libanais (CGTL), Bechara el-Asmar. Ils ont passé en revue plusieurs dossiers, dont ceux de l'Autorité de gestion du trafic, de l'Autorité d'immatriculation des véhicules, de la Sécurité sociale et des infractions.
Ils se sont longuement arrêtés sur le dossier de la Mécanique, à l’arrêt depuis plus de deux ans, demandant au ministre de l’Intérieur de se charger du dossier afin de «mettre fin à cette farce», avec un retour au travail des employés dont la culpabilité n’a pas été prouvée par la justice, afin que les citoyens du Beyrouth administratif, du Metn-Sud et du Chouf puissent effectuer leurs formalités.
Ils se sont demandé s’il est permis de priver près de 300.000 jeunes hommes et femmes libanais de l’obtention d’un permis de conduire?
Les participants ont également demandé une étude sérieuse portant sur le nombre de camions libanais circulant sur la ligne de transit et à l'étranger et sur le nombre de chauffeurs titulaires d'un permis les autorisant à les conduire.
Ils ont salué la décision du ministre des Travaux publics et des Transports, Ali Hamié, de rétablir le circuit des transports en commun à Beyrouth, en espérant que cette mesure s'étendra à toutes les régions libanaises.
Les participants ont appelé, une fois de plus, à empêcher les commerçants d'introduire et d'importer des «tuk-tuks», l'utilisation de ceux-ci étant en violation de la loi.
Il a enfin été décidé que le chef des fédérations et des syndicats, Bassam Tlais, et le président de la CGTL, Bechara Al-Asmar, suivent ces dossiers avec le Premier ministre et les ministres concernés dans un délai d’un mois.
Ils se sont longuement arrêtés sur le dossier de la Mécanique, à l’arrêt depuis plus de deux ans, demandant au ministre de l’Intérieur de se charger du dossier afin de «mettre fin à cette farce», avec un retour au travail des employés dont la culpabilité n’a pas été prouvée par la justice, afin que les citoyens du Beyrouth administratif, du Metn-Sud et du Chouf puissent effectuer leurs formalités.
Ils se sont demandé s’il est permis de priver près de 300.000 jeunes hommes et femmes libanais de l’obtention d’un permis de conduire?
Les participants ont également demandé une étude sérieuse portant sur le nombre de camions libanais circulant sur la ligne de transit et à l'étranger et sur le nombre de chauffeurs titulaires d'un permis les autorisant à les conduire.
Ils ont salué la décision du ministre des Travaux publics et des Transports, Ali Hamié, de rétablir le circuit des transports en commun à Beyrouth, en espérant que cette mesure s'étendra à toutes les régions libanaises.
Les participants ont appelé, une fois de plus, à empêcher les commerçants d'introduire et d'importer des «tuk-tuks», l'utilisation de ceux-ci étant en violation de la loi.
Il a enfin été décidé que le chef des fédérations et des syndicats, Bassam Tlais, et le président de la CGTL, Bechara Al-Asmar, suivent ces dossiers avec le Premier ministre et les ministres concernés dans un délai d’un mois.
Lire aussi
Commentaires