Le nouveau roman Gaïa d’Edgar Davidian, inspiré de la tragédie du 4 août à Beyrouth, sera prochainement publié par les éditions Artliban Calima. Une séance de dédicace de l’ouvrage par l’auteur est prévue le 29 juillet 2024 à la Bibliothèque municipale de Beyrouth.
La maison d’édition Artliban Calima vient d’annoncer la sortie prochaine de Gaïa, un nouveau roman signé par l’auteur et journaliste Edgar Davidian. Cet ouvrage, profondément ancré dans les événements tragiques du 4 août à Beyrouth, sera officiellement présenté lors d'une séance de signature à la Bibliothèque municipale de Beyrouth.
Gaïa est une œuvre littéraire qui tire son inspiration de l’explosion dévastatrice qui a secoué Beyrouth le 4 août 2020. Cet événement, qui a laissé une marque indélébile dans l'histoire de la ville, est le point de départ du roman d'Edgar Davidian. Entre le silence morbide de la mort et l’hymne d’espoir à la vie, Gaïa se dresse comme un témoignage poignant et un hommage à ceux qui ont été touchés par cette tragédie.
La quatrième de couverture de Gaïa nous plonge directement dans l'histoire du roman, inspirée de l'horreur du 4 août: «Une double explosion au port de Beyrouth fait des centaines de morts, des milliers de blessés, et des dizaines de quartiers sinistrés. Du fond de ces décombres, une belle âme sort d’un souvenir intact, lutte contre l’oubli et vient rejouer sur la scène de la tragédie qui l’a emportée vingt-neuf années d’existence au sein d’une famille dont les larmes ne tariront jamais. Gaïa, une belle promesse non tenue par la vie. Gaïa, une femme engagée jusqu’au bout. Gaïa, une perle qui s’est égrenée, une touche d’artiste qui s’est éteinte, des mots laissés sur des écrans embués. Gaïa, une fille d’Arménie et du Liban, de sa terre, de son feu, de son air, de sa mer, et de son silo de blé qui s’est trompé de date et de destinée… Cet ouvrage oscille entre oraison funèbre et hymne à la vie. Celle qui persiste au-delà des drames et des injustices, au-delà de la perte et des deuils avortés. La vie d’une belle âme que l’histoire aura retenue.»
Edgar Davidian n’est pas un inconnu dans le monde littéraire et culturel. Journaliste renommé, il a acquis une grande notoriété pour ses articles et critiques culturelles. Avec Gaïa, il offre à ses lecteurs une nouvelle dimension de son talent littéraire, mêlant réalité et fiction pour raconter une histoire de résilience et d’espoir.
Edgar Davidian a entrepris des études supérieures de Lettres Modernes et de Sciences Politiques. Il a mené une carrière de journaliste au quotidien L’Orient-Le jour, où il a également occupé le poste de rédacteur en chef du magazine First Look, art et décoration. En plus de son roman Gaïa, son œuvre littéraire comprend un recueil de nouvelles et une pièce de théâtre, Les dragées, donnée à Paris. Edgar Davidian est également reconnu pour ses ouvrages de critique d’art, notamment sur sur les sculptures de Raffi Tokatlian: Mythes et réalité et sur les peintures de Leila Abi-Saleh Nasr: Regard sur le monde.
La séance de signature de Gaïa s’annonce comme un événement incontournable pour les amateurs de littérature et les citoyens de Beyrouth. C’est une occasion de rencontrer l’auteur, d’échanger autour de son œuvre et de se remémorer les événements du 4 août sous un nouvel angle, celui de l’art et de la résilience. Edgar Davidian, à travers Gaïa, offre une ode à la vie, à la mémoire et à l’espoir, invitant ses lecteurs à se souvenir et à avancer. Lors du rendez-vous à la Bibliothèque municipale de Beyrouth, la littérature rencontrera l’histoire dans un hommage vibrant à une ville et à ses habitants.
La maison d’édition Artliban Calima vient d’annoncer la sortie prochaine de Gaïa, un nouveau roman signé par l’auteur et journaliste Edgar Davidian. Cet ouvrage, profondément ancré dans les événements tragiques du 4 août à Beyrouth, sera officiellement présenté lors d'une séance de signature à la Bibliothèque municipale de Beyrouth.
Gaïa est une œuvre littéraire qui tire son inspiration de l’explosion dévastatrice qui a secoué Beyrouth le 4 août 2020. Cet événement, qui a laissé une marque indélébile dans l'histoire de la ville, est le point de départ du roman d'Edgar Davidian. Entre le silence morbide de la mort et l’hymne d’espoir à la vie, Gaïa se dresse comme un témoignage poignant et un hommage à ceux qui ont été touchés par cette tragédie.
La quatrième de couverture de Gaïa nous plonge directement dans l'histoire du roman, inspirée de l'horreur du 4 août: «Une double explosion au port de Beyrouth fait des centaines de morts, des milliers de blessés, et des dizaines de quartiers sinistrés. Du fond de ces décombres, une belle âme sort d’un souvenir intact, lutte contre l’oubli et vient rejouer sur la scène de la tragédie qui l’a emportée vingt-neuf années d’existence au sein d’une famille dont les larmes ne tariront jamais. Gaïa, une belle promesse non tenue par la vie. Gaïa, une femme engagée jusqu’au bout. Gaïa, une perle qui s’est égrenée, une touche d’artiste qui s’est éteinte, des mots laissés sur des écrans embués. Gaïa, une fille d’Arménie et du Liban, de sa terre, de son feu, de son air, de sa mer, et de son silo de blé qui s’est trompé de date et de destinée… Cet ouvrage oscille entre oraison funèbre et hymne à la vie. Celle qui persiste au-delà des drames et des injustices, au-delà de la perte et des deuils avortés. La vie d’une belle âme que l’histoire aura retenue.»
Edgar Davidian n’est pas un inconnu dans le monde littéraire et culturel. Journaliste renommé, il a acquis une grande notoriété pour ses articles et critiques culturelles. Avec Gaïa, il offre à ses lecteurs une nouvelle dimension de son talent littéraire, mêlant réalité et fiction pour raconter une histoire de résilience et d’espoir.
Edgar Davidian a entrepris des études supérieures de Lettres Modernes et de Sciences Politiques. Il a mené une carrière de journaliste au quotidien L’Orient-Le jour, où il a également occupé le poste de rédacteur en chef du magazine First Look, art et décoration. En plus de son roman Gaïa, son œuvre littéraire comprend un recueil de nouvelles et une pièce de théâtre, Les dragées, donnée à Paris. Edgar Davidian est également reconnu pour ses ouvrages de critique d’art, notamment sur sur les sculptures de Raffi Tokatlian: Mythes et réalité et sur les peintures de Leila Abi-Saleh Nasr: Regard sur le monde.
La séance de signature de Gaïa s’annonce comme un événement incontournable pour les amateurs de littérature et les citoyens de Beyrouth. C’est une occasion de rencontrer l’auteur, d’échanger autour de son œuvre et de se remémorer les événements du 4 août sous un nouvel angle, celui de l’art et de la résilience. Edgar Davidian, à travers Gaïa, offre une ode à la vie, à la mémoire et à l’espoir, invitant ses lecteurs à se souvenir et à avancer. Lors du rendez-vous à la Bibliothèque municipale de Beyrouth, la littérature rencontrera l’histoire dans un hommage vibrant à une ville et à ses habitants.
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