©(ARCHIVES) Cette photo fournie par le bureau de l'armée iranienne le 24 décembre 2023 montre des équipements exposés lors de la cérémonie de dévoilement d'un nouveau système de missiles dans une base navale près de l'océan Indien, dans le port de Konarak, dans le sud de l'Iran. (bureau de l'armée iranienne / AFP)
Les Gardiens de la révolution iraniens ont ajouté de nouveaux missiles et drones à l'arsenal de leurs forces navales, a rapporté vendredi la télévision d'État iranienne, alors que les tensions s'intensifient dans la région après l'assassinat du chef politique du Hamas à Téhéran.
«Un grand nombre de nouveaux missiles de croisière antinavires ont été ajoutés aux forces navales des Gardiens de la révolution sur ordre du chef» de cette armée idéologique de la République islamique, a indiqué la télévision.
Les missiles «possèdent de nouvelles capacités, notamment une tête explosive à haute puissance et une furtivité accrue», a-t-elle ajouté.
Selon la télévision, un total de 2.654 systèmes militaires, comprenant des missiles à longue et moyenne portée, des drones explosifs, de combat et de reconnaissance, ainsi que des unités de guerre électronique, ont été intégrés aux forces navales du Corps des gardiens de la révolution islamique.
«Si nous ne sommes pas capables d'affronter l'ennemi dans les profondeurs des mers et des océans à tout moment et de l'arrêter à distance, nous rencontrerons inévitablement des problèmes à nos frontières nationales», a déclaré le général Hossein Salami, chef des Gardiens de la révolution.
«Dans le monde d'aujourd'hui, il faut soit être fort pour survivre et être en sécurité, soit se rendre; il n'y a pas de voie intermédiaire», a-t-il ajouté lors d'un défilé au cours duquel le nouvel arsenal a été présenté, selon les images de la télévision.
La région est en état d'alerte face à une éventuelle attaque de l'Iran ou de ses alliés contre Israël, à la suite de l'assassinat, la semaine dernière à Téhéran, du chef politique du Hamas, Ismaïl Haniyé.
Le Hamas et l'Iran attribuent cette attaque à Israël, qui n'a pas revendiqué l'assassinat. Téhéran a promis une riposte, alors que les efforts diplomatiques se poursuivent pour éviter une escalade militaire dans la région.
En tuant le chef politique du Hamas à Téhéran le 31 juillet, Israël a commis une «erreur stratégique» qui va lui «coûter cher», a déclaré à l'AFP jeudi le ministre iranien des Affaires étrangères par intérim, Ali Bagheri.
Téhéran a salué l'attaque sans précédent du Hamas en Israël, qui a déclenché le 7 octobre la guerre dans la bande de Gaza menée par Israël contre le mouvement islamiste palestinien, tout en affirmant qu'il n'y était pas impliqué.
Avec AFP
«Un grand nombre de nouveaux missiles de croisière antinavires ont été ajoutés aux forces navales des Gardiens de la révolution sur ordre du chef» de cette armée idéologique de la République islamique, a indiqué la télévision.
Les missiles «possèdent de nouvelles capacités, notamment une tête explosive à haute puissance et une furtivité accrue», a-t-elle ajouté.
Selon la télévision, un total de 2.654 systèmes militaires, comprenant des missiles à longue et moyenne portée, des drones explosifs, de combat et de reconnaissance, ainsi que des unités de guerre électronique, ont été intégrés aux forces navales du Corps des gardiens de la révolution islamique.
«Si nous ne sommes pas capables d'affronter l'ennemi dans les profondeurs des mers et des océans à tout moment et de l'arrêter à distance, nous rencontrerons inévitablement des problèmes à nos frontières nationales», a déclaré le général Hossein Salami, chef des Gardiens de la révolution.
«Dans le monde d'aujourd'hui, il faut soit être fort pour survivre et être en sécurité, soit se rendre; il n'y a pas de voie intermédiaire», a-t-il ajouté lors d'un défilé au cours duquel le nouvel arsenal a été présenté, selon les images de la télévision.
La région est en état d'alerte face à une éventuelle attaque de l'Iran ou de ses alliés contre Israël, à la suite de l'assassinat, la semaine dernière à Téhéran, du chef politique du Hamas, Ismaïl Haniyé.
Le Hamas et l'Iran attribuent cette attaque à Israël, qui n'a pas revendiqué l'assassinat. Téhéran a promis une riposte, alors que les efforts diplomatiques se poursuivent pour éviter une escalade militaire dans la région.
En tuant le chef politique du Hamas à Téhéran le 31 juillet, Israël a commis une «erreur stratégique» qui va lui «coûter cher», a déclaré à l'AFP jeudi le ministre iranien des Affaires étrangères par intérim, Ali Bagheri.
Téhéran a salué l'attaque sans précédent du Hamas en Israël, qui a déclenché le 7 octobre la guerre dans la bande de Gaza menée par Israël contre le mouvement islamiste palestinien, tout en affirmant qu'il n'y était pas impliqué.
Avec AFP
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