Les Bourses européennes ont rebondi vendredi, stimulées par la publication de données rassurantes sur les économies mondiales les plus puissantes, à savoir les États-Unis et la Chine, clôturant ainsi une semaine marquée par une grande volatilité sur les marchés financiers.
La Bourse de Paris a enregistré une augmentation de 0,44%, celle de Londres de 0,51%, celle de Francfort de 35% et celle de Milan de 0,41%.
Sur l’ensemble de la semaine, l’indice paneuropéen STOXX 600 a affiché une légère progression de 0,29%, après avoir subi une perte de 2,92% la semaine précédente, sa plus forte baisse hebdomadaire depuis octobre 2023.
À Wall Street, les contrats à terme des trois principaux indices laissaient présager une légère hausse à l'ouverture. Jeudi, l'indice Dow Jones avait progressé de 1,76%, le Nasdaq de 2,87% et le S&P 500 de 2,30%.
En Asie, Hong Kong a pris 1,17%, tandis que Shanghai a reculé de 0,27%. Le Nikkei japonais a, quant à lui, augmenté de 0,56%.
Il faut dire que les investisseurs se sont décrispés jeudi, après une baisse plus forte qu'attendue des demandes hebdomadaires d'allocations chômage aux États-Unis. Ceci a permis de dissiper les craintes quant aux risques de récession aux États-Unis, apparues après la publication d’un rapport sur l’emploi ayant chamboulé les marchés mondiaux.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, les investisseurs ont également été rassurés par des données économiques chinoises indiquant une hausse des prix à la consommation en juillet, supérieure aux prévisions.
Selon le Bureau national des statistiques (BNS), l'indice des prix à la consommation (CPI), principale jauge de l'inflation, a progressé de 0,5% en glissement annuel en juillet. La Chine a ainsi évité l'entrée dans une nouvelle période de déflation.
Avec AFP
La Bourse de Paris a enregistré une augmentation de 0,44%, celle de Londres de 0,51%, celle de Francfort de 35% et celle de Milan de 0,41%.
Sur l’ensemble de la semaine, l’indice paneuropéen STOXX 600 a affiché une légère progression de 0,29%, après avoir subi une perte de 2,92% la semaine précédente, sa plus forte baisse hebdomadaire depuis octobre 2023.
À Wall Street, les contrats à terme des trois principaux indices laissaient présager une légère hausse à l'ouverture. Jeudi, l'indice Dow Jones avait progressé de 1,76%, le Nasdaq de 2,87% et le S&P 500 de 2,30%.
En Asie, Hong Kong a pris 1,17%, tandis que Shanghai a reculé de 0,27%. Le Nikkei japonais a, quant à lui, augmenté de 0,56%.
Il faut dire que les investisseurs se sont décrispés jeudi, après une baisse plus forte qu'attendue des demandes hebdomadaires d'allocations chômage aux États-Unis. Ceci a permis de dissiper les craintes quant aux risques de récession aux États-Unis, apparues après la publication d’un rapport sur l’emploi ayant chamboulé les marchés mondiaux.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, les investisseurs ont également été rassurés par des données économiques chinoises indiquant une hausse des prix à la consommation en juillet, supérieure aux prévisions.
Selon le Bureau national des statistiques (BNS), l'indice des prix à la consommation (CPI), principale jauge de l'inflation, a progressé de 0,5% en glissement annuel en juillet. La Chine a ainsi évité l'entrée dans une nouvelle période de déflation.
Avec AFP
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