Le président du syndicat des propriétaires, Patrick Rizkallah, a mis en garde contre «de nouveaux tremblements de terre qui pourraient conduire à l'effondrement d'immeubles à Beyrouth et dans d'autres régions». Il a rappelé que le syndicat a fait appel à plusieurs reprises à l'État libanais concernant la nécessité d'élaborer un plan pour sauver ces immeubles. Il a avancé le nombre de dix mille bâtiments à risque rien qu'à Beyrouth.
«Où sont les projets de lois pour sauver ces bâtiments? Où en est l'inspection?», s’est-il demandé dans un communiqué.
Il a par ailleurs affirmé qu'«un grand nombre d'immeubles loués risquent de s'effondrer à tout moment parce que les propriétaires ne sont pas en mesure de les rénover», soulignant que les autorités «retardent l'application de la nouvelle loi sur les loyers pour les parties non résidentielles, légalement en vigueur, au lieu de la publier dans le Journal officiel pour en faire un outil qui aide les propriétaires à retrouver la capacité de réhabiliter».
Le président du syndicat a appelé les autorités concernées à faire preuve de compassion envers les propriétaires et les locataires, et de publier cette loi au lieu de «violer la constitution et de priver le propriétaire de ses droits les plus élémentaires».
M. Rizkallah a exhorté le Parlement à se réunir immédiatement et à prendre des mesures pour protéger les résidents au moyen de lois préventives. La première consistant à dégager la responsabilité des propriétaires d'anciens immeubles loués et à demander aux chefs des municipalités d'évacuer les bâtiments risquant de s'effondrer, notamment à Beyrouth, Tripoli, Saïda et les grandes villes.
Il a souligné que le tremblement de terre qui a frappé la région n'est rien d'autre qu'un avertissement sur la nécessité d'une action immédiate.
«Où sont les projets de lois pour sauver ces bâtiments? Où en est l'inspection?», s’est-il demandé dans un communiqué.
Il a par ailleurs affirmé qu'«un grand nombre d'immeubles loués risquent de s'effondrer à tout moment parce que les propriétaires ne sont pas en mesure de les rénover», soulignant que les autorités «retardent l'application de la nouvelle loi sur les loyers pour les parties non résidentielles, légalement en vigueur, au lieu de la publier dans le Journal officiel pour en faire un outil qui aide les propriétaires à retrouver la capacité de réhabiliter».
Le président du syndicat a appelé les autorités concernées à faire preuve de compassion envers les propriétaires et les locataires, et de publier cette loi au lieu de «violer la constitution et de priver le propriétaire de ses droits les plus élémentaires».
M. Rizkallah a exhorté le Parlement à se réunir immédiatement et à prendre des mesures pour protéger les résidents au moyen de lois préventives. La première consistant à dégager la responsabilité des propriétaires d'anciens immeubles loués et à demander aux chefs des municipalités d'évacuer les bâtiments risquant de s'effondrer, notamment à Beyrouth, Tripoli, Saïda et les grandes villes.
Il a souligné que le tremblement de terre qui a frappé la région n'est rien d'autre qu'un avertissement sur la nécessité d'une action immédiate.
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