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Emmanuel Macron a convié les présidents des groupes parlementaires et les chefs des partis représentés au Parlement à «une série d'échanges» le 23 août, en vue de tenter de constituer un gouvernement, a annoncé vendredi l'Élysée.
«La nomination d'un Premier ministre interviendra dans le prolongement de ces consultations et de leurs conclusions», a également précisé dans un communiqué la présidence.
L'Élysée, constatant que les Français avaient exprimé lors des élections législatives de juillet «une volonté de changement et de large rassemblement», espère avec ce rendez-vous «continuer à avancer vers la constitution d'une majorité la plus large et la plus stable possible au service du pays».
Un mois après la démission du gouvernement Attal, Emmanuel Macron temporise toujours sur la formation du futur gouvernement, arguant d'une absence de majorité dans une Assemblée fragmentée entre un bloc de gauche, un contingent du Rassemblement national et ses alliés, et un bloc macroniste.
La gauche unie au sein du Nouveau Front populaire (NFP), se prévalant du plus gros contingent avec 193 députés, met pour sa part la pression sur le président pour nommer à Matignon la haute fonctionnaire Lucie Castets.
Les quatre formations du NFP (socialistes, Insoumis, communistes et Écologistes) envisagent d'ailleurs de se présenter ensemble au rendez-vous du 23 août, avec Mme Castets, a indiqué le coordinateur de La France insoumise (LFI) Manuel Bompard à l'AFP.
La piste Castets avait cependant été balayée dès le 23 juillet par Emmanuel Macron, pour qui «la question n'est pas un nom. La question, c'est quelle majorité peut se dégager à l'Assemblée».
Le président avait lors de cette même interview renvoyé la constitution d'un nouveau gouvernement à l'après-Jeux olympiques.
Rien n'a depuis filtré de ses intentions et plusieurs noms circulent pour le poste de Premier ministre, du président LR de la région Hauts-de-France Xavier Bertrand, à l'ancien locataire socialiste de Matignon, Bernard Cazeneuve.
Avec AFP
«La nomination d'un Premier ministre interviendra dans le prolongement de ces consultations et de leurs conclusions», a également précisé dans un communiqué la présidence.
L'Élysée, constatant que les Français avaient exprimé lors des élections législatives de juillet «une volonté de changement et de large rassemblement», espère avec ce rendez-vous «continuer à avancer vers la constitution d'une majorité la plus large et la plus stable possible au service du pays».
Un mois après la démission du gouvernement Attal, Emmanuel Macron temporise toujours sur la formation du futur gouvernement, arguant d'une absence de majorité dans une Assemblée fragmentée entre un bloc de gauche, un contingent du Rassemblement national et ses alliés, et un bloc macroniste.
La gauche unie au sein du Nouveau Front populaire (NFP), se prévalant du plus gros contingent avec 193 députés, met pour sa part la pression sur le président pour nommer à Matignon la haute fonctionnaire Lucie Castets.
Les quatre formations du NFP (socialistes, Insoumis, communistes et Écologistes) envisagent d'ailleurs de se présenter ensemble au rendez-vous du 23 août, avec Mme Castets, a indiqué le coordinateur de La France insoumise (LFI) Manuel Bompard à l'AFP.
La piste Castets avait cependant été balayée dès le 23 juillet par Emmanuel Macron, pour qui «la question n'est pas un nom. La question, c'est quelle majorité peut se dégager à l'Assemblée».
Le président avait lors de cette même interview renvoyé la constitution d'un nouveau gouvernement à l'après-Jeux olympiques.
Rien n'a depuis filtré de ses intentions et plusieurs noms circulent pour le poste de Premier ministre, du président LR de la région Hauts-de-France Xavier Bertrand, à l'ancien locataire socialiste de Matignon, Bernard Cazeneuve.
Avec AFP
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