Le patriarche maronite, Béchara Raï, a souligné que "la réconciliation est une nécessité pour notre société libanaise", et qu'avec elle "les guerres d'intérêts personnels, qui sont plus dangereuses que les guerres armées, prennent fin".
Il a ainsi souligné l’importance d’une réconciliation nationale, dans un pays où la population est de plus en plus divisée, et de l’élection d’un président de la République permettant la reconstruction d’un État d'unité nationale.
Dans son homélie dominicale, le patriarche maronite a également dénoncé l’exclusion des maronites en raison de l’absence d’un chef de l’État, rappelant la période d’or où les maronites étaient au pouvoir. Selon lui, cette période était marquée par des relations privilégiées entre le Liban, le monde arabe et le monde islamique.
Il a ainsi souligné l’importance d’une réconciliation nationale, dans un pays où la population est de plus en plus divisée, et de l’élection d’un président de la République permettant la reconstruction d’un État d'unité nationale.
Dans son homélie dominicale, le patriarche maronite a également dénoncé l’exclusion des maronites en raison de l’absence d’un chef de l’État, rappelant la période d’or où les maronites étaient au pouvoir. Selon lui, cette période était marquée par des relations privilégiées entre le Liban, le monde arabe et le monde islamique.
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