Le haut représentant de l'Union Européenne (UE) pour les affaires étrangères et la politique de sécurité et vice-président de la Commission européenne, Josep Borrell, a fait part de son soutien à la position du Liban «appelant à l'application immédiate de la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l'ONU». Ces propos ont été tenus par le responsable de l’UE lors d’un appel téléphonique avec le ministre sortant des Affaires étrangères, Abdallah Bou Habib, lundi.
Les derniers développements au Liban, en particulier au Liban-Sud, étaient également au centre des entretiens entre les deux hommes. À ce sujet, le ministre libanais des Affaires étrangères, M. Bou Habib, a insisté auprès de M. Borrell «sur la nécessité pour l'UE d'exercer une pression sur Israël pour qu'il mette fin à son agression contre le Liban et s'engage à mettre en œuvre la résolution 1701».
Par ailleurs, les deux hommes ont «regretté» que les deux cycles de négociations menés par les États-Unis, le Qatar et l'Égypte en vue de parvenir à un cessez-le-feu à Gaza et qui se sont tenus au Caire et avant cela à Doha «n’ont pas pu aboutir». Dans cet objectif, ils ont appelé à ce que «les efforts se poursuivent» afin «de mettre fin à l'escalade en cours dans la région et, ainsi, éviter une guerre généralisée».
Les derniers développements au Liban, en particulier au Liban-Sud, étaient également au centre des entretiens entre les deux hommes. À ce sujet, le ministre libanais des Affaires étrangères, M. Bou Habib, a insisté auprès de M. Borrell «sur la nécessité pour l'UE d'exercer une pression sur Israël pour qu'il mette fin à son agression contre le Liban et s'engage à mettre en œuvre la résolution 1701».
Par ailleurs, les deux hommes ont «regretté» que les deux cycles de négociations menés par les États-Unis, le Qatar et l'Égypte en vue de parvenir à un cessez-le-feu à Gaza et qui se sont tenus au Caire et avant cela à Doha «n’ont pas pu aboutir». Dans cet objectif, ils ont appelé à ce que «les efforts se poursuivent» afin «de mettre fin à l'escalade en cours dans la région et, ainsi, éviter une guerre généralisée».
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