©ANDY RAIN POOL / AFP
L'Angleterre a renforcé sa domination cet été sur le marché des transferts dans le football masculin, restant de très loin le championnat le plus dépensier tout en chipant à l'Allemagne la première place côté recettes.
Selon un rapport publié mardi par la Fifa, le championnat le plus riche du monde a vu ses clubs débourser 1,69 milliard de dollars (1,52 milliard d'euros) entre le 1er juin et le 1er septembre, pour 526 recrutements internationaux sur cette période.
C'est un peu moins qu'à l'été 2023 (1,98 milliard de dollars), mais deux fois supérieur à l'Italie (825 millions de dollars), devant la France (697 millions de dollars), l'Espagne (599 millions de dollars) et l'Allemagne (572 millions de dollars).
L'Arabie saoudite, après s'être propulsée l'an dernier au deuxième rang des pays les plus dépensiers, redescend derrière le "Big 5" européen, avec 431 millions de dollars dépensés, soit deux fois moins qu'à l'été 2023.
Côté vendeurs, les clubs anglais ont battu le record de recettes établi il y a un an par les formations allemandes, cumulant 1,25 milliard de dollars (1,13 milliard d'euros) grâce aux transferts internationaux de 523 joueurs.
La France pointe au deuxième rang (756 millions de dollars), devant l'Espagne, le Portugal, l'Allemagne, et l'Italie. Premier vendeur non européen, le Brésil apparaît à la huitième place (278 millions de dollars), signe de l'hégémonie économique du football du Vieux Continent.
Au total, les indemnités de transferts dans le football masculin reculent de 13% par rapport à l'an dernier, à 6,4 millards de dollars (5,8 milliards d'euros), mais avec un nouveau record pour le nombre d'opérations, soit 11.000 mouvements.
La progression est en revanche spectaculaire pour le football féminin, bien que les sommes en jeu soient très fortement inférieures: le nombre de transferts internationaux a bondi de 31% par rapport à l'été dernier (1.125), pour un montant plus que doublé, à 6,8 millions de dollars (6,15 millions d'euros).
Avec AFP
Selon un rapport publié mardi par la Fifa, le championnat le plus riche du monde a vu ses clubs débourser 1,69 milliard de dollars (1,52 milliard d'euros) entre le 1er juin et le 1er septembre, pour 526 recrutements internationaux sur cette période.
C'est un peu moins qu'à l'été 2023 (1,98 milliard de dollars), mais deux fois supérieur à l'Italie (825 millions de dollars), devant la France (697 millions de dollars), l'Espagne (599 millions de dollars) et l'Allemagne (572 millions de dollars).
L'Arabie saoudite, après s'être propulsée l'an dernier au deuxième rang des pays les plus dépensiers, redescend derrière le "Big 5" européen, avec 431 millions de dollars dépensés, soit deux fois moins qu'à l'été 2023.
Côté vendeurs, les clubs anglais ont battu le record de recettes établi il y a un an par les formations allemandes, cumulant 1,25 milliard de dollars (1,13 milliard d'euros) grâce aux transferts internationaux de 523 joueurs.
La France pointe au deuxième rang (756 millions de dollars), devant l'Espagne, le Portugal, l'Allemagne, et l'Italie. Premier vendeur non européen, le Brésil apparaît à la huitième place (278 millions de dollars), signe de l'hégémonie économique du football du Vieux Continent.
Au total, les indemnités de transferts dans le football masculin reculent de 13% par rapport à l'an dernier, à 6,4 millards de dollars (5,8 milliards d'euros), mais avec un nouveau record pour le nombre d'opérations, soit 11.000 mouvements.
La progression est en revanche spectaculaire pour le football féminin, bien que les sommes en jeu soient très fortement inférieures: le nombre de transferts internationaux a bondi de 31% par rapport à l'été dernier (1.125), pour un montant plus que doublé, à 6,8 millions de dollars (6,15 millions d'euros).
Avec AFP
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