Le président français, Emmanuel Macron, envisagerait de tenir une conférence dédiée au Liban, en marge du sommet de la Francophonie qui se déroulera les 4 et 5 octobre prochains, en France, pour la première fois depuis trente ans.
Selon des sources diplomatiques françaises citées par notre confrère Houna Loubnan, sous la plume de Chahir Idriss, l’objectif de cette réunion extraordinaire serait d’exhorter les pays participants au sommet à contribuer au sauvetage d’un Liban noyé dans ses problèmes. Notamment une crise économique sans précédent, une guerre destructrice dans lequel le Hezbollah l’a entraîné à sa frontière sud, une impasse présidentielle et des institutions constitutionnelles paralysées.
La France, bien que submergée par ses propres crises internes, reste préoccupée par le dossier libanais et s’efforce à travers ses contacts continus avec l’Arabie saoudite, d’une part, et l’Iran, d’autre part, par le biais notamment de l’émissaire présidentiel spécial pour le Liban, Jean-Yves Le Drian, de convaincre Riyad de reprendre un rôle de premier plan au pays du Cèdre.
De même source, on indique que l’entretien, jeudi, de M. Le Drian avec le conseiller de la cour royale saoudienne, Nizar Alaoula, en charge du dossier libanais, n’a pas donné lieu à des idées nouvelles pour venir à bout de l’impasse présidentielle. Il reste toutefois important pour lancer une dynamique à cet effet, surtout si un accord pour un cessez-le-feu à Gaza est conclu.
La France, indique-t-on, reste toujours engagée en faveur de la mise en œuvre de la résolution 1701 après l’obtention d’un cessez-le-feu dans l’enclave palestinienne et au Liban-Sud.
Selon des sources diplomatiques françaises citées par notre confrère Houna Loubnan, sous la plume de Chahir Idriss, l’objectif de cette réunion extraordinaire serait d’exhorter les pays participants au sommet à contribuer au sauvetage d’un Liban noyé dans ses problèmes. Notamment une crise économique sans précédent, une guerre destructrice dans lequel le Hezbollah l’a entraîné à sa frontière sud, une impasse présidentielle et des institutions constitutionnelles paralysées.
La France, bien que submergée par ses propres crises internes, reste préoccupée par le dossier libanais et s’efforce à travers ses contacts continus avec l’Arabie saoudite, d’une part, et l’Iran, d’autre part, par le biais notamment de l’émissaire présidentiel spécial pour le Liban, Jean-Yves Le Drian, de convaincre Riyad de reprendre un rôle de premier plan au pays du Cèdre.
De même source, on indique que l’entretien, jeudi, de M. Le Drian avec le conseiller de la cour royale saoudienne, Nizar Alaoula, en charge du dossier libanais, n’a pas donné lieu à des idées nouvelles pour venir à bout de l’impasse présidentielle. Il reste toutefois important pour lancer une dynamique à cet effet, surtout si un accord pour un cessez-le-feu à Gaza est conclu.
La France, indique-t-on, reste toujours engagée en faveur de la mise en œuvre de la résolution 1701 après l’obtention d’un cessez-le-feu dans l’enclave palestinienne et au Liban-Sud.
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