©(Photo par Youssef KARWASHAN / AFP)
Deux personnes ont été tuées dans une frappe israélienne qui a visé jeudi une voiture dans la province méridionale de Qouneitra, dans la partie du Golan contrôlée par Damas, a indiqué l'agence officielle syrienne Sana.
«Deux citoyens ont été tués dans une agression israélienne menée par un drone qui a lancé un missile sur une voiture civile» sur la route reliant Qouneitra à Damas, a précisé l'agence.
L'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), ONG basée au Royaume-Uni, mais qui dispose d'un vaste réseau de sources en Syrie, a indiqué qu'un militaire figurait parmi les deux personnes tuées.
Une source de sécurité locale a indiqué à l'AFP que «deux corps calcinés avaient été retirés d'une voiture visée par une frappe».
Ce raid intervient après des frappes particulièrement violentes, attribuées par Damas à Israël, qui ont visé dans la nuit de dimanche à lundi le centre de la Syrie et fait 18 morts selon les autorités, 27 d'après l'OSDH. Les frappes sur la région de Mesyaf ont notamment visé des sites militaires sensibles, selon l'ONG.
L'armée israélienne n'a pas commenté dans un premier temps la frappe de jeudi matin.
Depuis le début, en 2011, de la guerre civile en Syrie, Israël y a mené des centaines de frappes visant l'armée et les groupes pro-iraniens, notamment le Hezbollah, déployés dans le pays en soutien au gouvernement du président Bachar al-Assad.
Les raids israéliens en Syrie se sont intensifiés après le déclenchement de la guerre à Gaza le 7 octobre.
Damas a tenté de rester à l'écart des violences régionales depuis le début de la guerre à Gaza. Mais des tirs de roquettes, de la part de groupes affiliés au Hezbollah, ont été signalés depuis la Syrie contre la partie du Golan syrien occupée par Israël.
Le plateau du Golan a été en partie conquis par Israël sur la Syrie lors de la guerre israélo-arabe de 1967 et annexé aux deux tiers en décembre 1981.
Avec AFP
«Deux citoyens ont été tués dans une agression israélienne menée par un drone qui a lancé un missile sur une voiture civile» sur la route reliant Qouneitra à Damas, a précisé l'agence.
L'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), ONG basée au Royaume-Uni, mais qui dispose d'un vaste réseau de sources en Syrie, a indiqué qu'un militaire figurait parmi les deux personnes tuées.
Une source de sécurité locale a indiqué à l'AFP que «deux corps calcinés avaient été retirés d'une voiture visée par une frappe».
Ce raid intervient après des frappes particulièrement violentes, attribuées par Damas à Israël, qui ont visé dans la nuit de dimanche à lundi le centre de la Syrie et fait 18 morts selon les autorités, 27 d'après l'OSDH. Les frappes sur la région de Mesyaf ont notamment visé des sites militaires sensibles, selon l'ONG.
L'armée israélienne n'a pas commenté dans un premier temps la frappe de jeudi matin.
Depuis le début, en 2011, de la guerre civile en Syrie, Israël y a mené des centaines de frappes visant l'armée et les groupes pro-iraniens, notamment le Hezbollah, déployés dans le pays en soutien au gouvernement du président Bachar al-Assad.
Les raids israéliens en Syrie se sont intensifiés après le déclenchement de la guerre à Gaza le 7 octobre.
Damas a tenté de rester à l'écart des violences régionales depuis le début de la guerre à Gaza. Mais des tirs de roquettes, de la part de groupes affiliés au Hezbollah, ont été signalés depuis la Syrie contre la partie du Golan syrien occupée par Israël.
Le plateau du Golan a été en partie conquis par Israël sur la Syrie lors de la guerre israélo-arabe de 1967 et annexé aux deux tiers en décembre 1981.
Avec AFP
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