Le ministre sortant de l'Energie et de l'Eau, Walid Fayad, a effectué vendredi une visite d'inspection des fleuves de Beyrouth et de Nahr al-Kalb, alors que les travaux de nettoyage sont en passe d’être terminés.
Cette tournée a pour objectif de vérifier les travaux de nettoyage des lits des fleuves afin d'éviter les problèmes survenus durant ces dernières années, à savoir: inondations, glissements de terrain et de pierres à cause des fortes pluies.
M. Fayad a indiqué que le nettoyage du fleuve de Beyrouth s'est très bien déroulé jusqu'à présent, sur tout le cours. Notamment pour l'élargissement de son goulot, après la suppression, en coopération avec le ministère des Travaux publics, des empiètements qui ont eu lieu en raison de l'intersection entre les propriétés maritimes et fluviales.
Fayad a demandé au peuple libanais de se montrer «responsable de la protection de l'environnement, même si c'est l'État qui en est le premier responsable, appelant chacun à «s'engager en faveur d'un environnement civilisé».
Concernant la question de l'électricité, le ministre de l'Énergie a assuré lutter pour accroître l’approvisionnement grâce à une diversification des sources de carburant. Et ce, en espérant que les relations avec l'Algérie se développeront et redeviendront ce qu’elles étaient avant le problème avec Sonatrach, la compagnie nationale algérienne des hydrocarbures.
Il convient de rappeler dans ce cadre que Sonatrach et Électricité du Liban (EDL) ont signé, en 2009, un contrat en vertu duquel la société algérienne fournirait du gazole pour alimenter les centrales électriques libanaises afin de pallier les pénuries récurrentes de courant au Liban. En 2021, Sonatrach a signifié à EDL qu’elle ne renouvellerait pas son contrat d’importation de carburant. Cette interruption est survenue tout d’abord en raison de la crise économique et financière qui sévit au Liban et qui a entraîné des retards de paiement importants et des difficultés à honorer les engagements. Les multiples crises politiques ont également contribué à cette situation, entraînant des tensions avec Sonatrach. Cependant, l’arrêt du contrat n’est pas anodin après l’affaire du «fuel défectueux» de 2019.
Il a notamment souligné que des navires de gazole arriveront au Liban entre vendredi et samedi.
Cette tournée a pour objectif de vérifier les travaux de nettoyage des lits des fleuves afin d'éviter les problèmes survenus durant ces dernières années, à savoir: inondations, glissements de terrain et de pierres à cause des fortes pluies.
M. Fayad a indiqué que le nettoyage du fleuve de Beyrouth s'est très bien déroulé jusqu'à présent, sur tout le cours. Notamment pour l'élargissement de son goulot, après la suppression, en coopération avec le ministère des Travaux publics, des empiètements qui ont eu lieu en raison de l'intersection entre les propriétés maritimes et fluviales.
Fayad a demandé au peuple libanais de se montrer «responsable de la protection de l'environnement, même si c'est l'État qui en est le premier responsable, appelant chacun à «s'engager en faveur d'un environnement civilisé».
Concernant la question de l'électricité, le ministre de l'Énergie a assuré lutter pour accroître l’approvisionnement grâce à une diversification des sources de carburant. Et ce, en espérant que les relations avec l'Algérie se développeront et redeviendront ce qu’elles étaient avant le problème avec Sonatrach, la compagnie nationale algérienne des hydrocarbures.
Il convient de rappeler dans ce cadre que Sonatrach et Électricité du Liban (EDL) ont signé, en 2009, un contrat en vertu duquel la société algérienne fournirait du gazole pour alimenter les centrales électriques libanaises afin de pallier les pénuries récurrentes de courant au Liban. En 2021, Sonatrach a signifié à EDL qu’elle ne renouvellerait pas son contrat d’importation de carburant. Cette interruption est survenue tout d’abord en raison de la crise économique et financière qui sévit au Liban et qui a entraîné des retards de paiement importants et des difficultés à honorer les engagements. Les multiples crises politiques ont également contribué à cette situation, entraînant des tensions avec Sonatrach. Cependant, l’arrêt du contrat n’est pas anodin après l’affaire du «fuel défectueux» de 2019.
Il a notamment souligné que des navires de gazole arriveront au Liban entre vendredi et samedi.
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