Le Premier ministre libanais sortant, Najib Mikati, a demandé au Conseil de sécurité de l’ONU d’«adopter une position ferme vis-à-vis d’Israël» afin qu’il mette un terme à sa «guerre technologique» contre le Liban. M. Mikati a dénoncé les explosions meurtrières qui ont visé, durant deux jours consécutifs, les appareils de communication des membres du Hezbollah, les bipeurs (pagers) et talkies-walkies, et qui ont fait «des centaines de martyrs et des milliers de blessés».
Cette question «relève de la responsabilité de la communauté internationale, qui doit dissuader Israël de son agression, car cela ne concerne pas seulement le Liban, mais l’humanité tout entière», a ajouté le Premier ministre sortant.
Le Conseil de sécurité se réunit d'urgence, demain vendredi, à la demande du Liban, tel que l'a souligné M. Mikati, qui a réitéré qu'il est «nécessaire de parvenir à une position dissuasive afin d'arrêter la guerre d'anéantissement d'Israël».
Concertations diplomatiques
M. Mikati a reçu un appel du président français Emmanuel Macron qui a condamné «les attentats qui ont fait des centaines de victimes». M. Macron a également exprimé sa «solidarité et sa sympathie avec le Liban dans cette douloureuse épreuve» et appelé «toutes les parties à faire preuve de retenue et à ne pas tomber dans l'escalade, qui ne mène à aucune solution».
Pour sa part, le Premier ministre a demandé qu'«une position ferme soit adoptée contre l'agression israélienne lors de la session du Conseil de sécurité prévue demain, à la demande du gouvernement libanais».
M. Mikati a rencontré divers diplomates accrédités au Liban, leur demandant de défendre la requête officielle du Liban auprès du Conseil de sécurité.
Il a, dans cet objectif, reçu jeudi matin au Sérail, l’ambassadeur britannique au Liban, Hamish Cowell, en insistant sur «la nécessité que la Grande-Bretagne adopte une position ferme lors de la réunion de demain du Conseil de sécurité concernant l’agression israélienne».
Cette question «relève de la responsabilité de la communauté internationale, qui doit dissuader Israël de son agression, car cela ne concerne pas seulement le Liban, mais l’humanité tout entière», a ajouté le Premier ministre sortant.
Le Conseil de sécurité se réunit d'urgence, demain vendredi, à la demande du Liban, tel que l'a souligné M. Mikati, qui a réitéré qu'il est «nécessaire de parvenir à une position dissuasive afin d'arrêter la guerre d'anéantissement d'Israël».
Concertations diplomatiques
M. Mikati a reçu un appel du président français Emmanuel Macron qui a condamné «les attentats qui ont fait des centaines de victimes». M. Macron a également exprimé sa «solidarité et sa sympathie avec le Liban dans cette douloureuse épreuve» et appelé «toutes les parties à faire preuve de retenue et à ne pas tomber dans l'escalade, qui ne mène à aucune solution».
Pour sa part, le Premier ministre a demandé qu'«une position ferme soit adoptée contre l'agression israélienne lors de la session du Conseil de sécurité prévue demain, à la demande du gouvernement libanais».
M. Mikati a rencontré divers diplomates accrédités au Liban, leur demandant de défendre la requête officielle du Liban auprès du Conseil de sécurité.
Il a, dans cet objectif, reçu jeudi matin au Sérail, l’ambassadeur britannique au Liban, Hamish Cowell, en insistant sur «la nécessité que la Grande-Bretagne adopte une position ferme lors de la réunion de demain du Conseil de sécurité concernant l’agression israélienne».
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