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- Mikati appelle l’ONU à adopter une «solution sérieuse» en faveur d'un cessez-le-feu
Le Premier ministre sortant, Najib Mikati, a appelé le Conseil de sécurité de l’ONU à adopter une «solution sérieuse basée sur la coopération de tous les États membres, pour faire pression sur Israël en vue d'un cessez-le-feu immédiat sur tous les fronts et d'un retour à la sécurité et à la stabilité dans notre région».
Lors de la réunion du Conseil de sécurité tenue mercredi à New York, M. Mikati a salué l'appel conjoint à un cessez-le-feu temporaire au Liban, lancé à l'initiative des États-Unis et de la France, avec le soutien de l'Union européenne et d'un certain nombre de pays occidentaux et arabes.
Il a également réitéré l'engagement du gouvernement libanais à l'égard de la résolution onusienne 1701.
«L'essentiel, à présent, est qu'Israël s’engage à appliquer les résolutions internationales», a-t-il ajouté.
Le Conseil s’est réuni à la demande de la France, à la suite de la dernière escalade qui s’est traduite par une intensification des frappes israéliennes qui se sont étendues à de nombreuses régions sur tout le territoire libanais.
Lors de son allocution, M. Mikati a salué «l'effort sincère fourni par la France, en coopération avec les États-Unis, pour publier une déclaration conjointe soutenue par la communauté internationale, afin de mettre un terme à cette sale guerre».
Dans ce cadre, il a évoqué «l’escalade sans précédent» que connaît le Liban en ce moment, notamment avec l’utilisation de la nouvelle technologie à des fins militaires destructrices.
M. Mikati a également exposé la situation actuelle, mentionnant le nombre croissant de tués et de blessés civils, ainsi que la précarité du système hospitalier.
«Le Liban est aujourd'hui victime d'une agression cybernétique, aérienne et maritime, qui pourrait se transformer en agression terrestre et même entraîner une vaste guerre régionale», a-t-il déploré.
Dans ce contexte, il a exprimé son souhait d’obtenir, de la part du Conseil, «une position claire appelant à la cessation de cette agression et au respect de la souveraineté et de l'intégrité» du Liban.
Dans son intervention, le Premier ministre a mis en avant le danger expansionniste que représente Israël, à la fois pour le Liban et pour la région.
«Qui garantit que de telles attaques ne se produiront pas dans d'autres pays si des mesures dissuasives et punitives décisives ne sont pas prises à l'encontre de l'agresseur (Israël)?», a-t-il lancé.
Dans ce sens, il a rappelé la «longue histoire de conflits et de violations» qui lie le pays du Cèdre à l’État hébreu, témoignant des «agressions israéliennes continues contre le territoire libanais».
M. Mikati a alors souligné cette «violation flagrante de la souveraineté nationale et des droits (du Liban) en tant qu'État membre des Nations unies».
Lors de la réunion du Conseil de sécurité tenue mercredi à New York, M. Mikati a salué l'appel conjoint à un cessez-le-feu temporaire au Liban, lancé à l'initiative des États-Unis et de la France, avec le soutien de l'Union européenne et d'un certain nombre de pays occidentaux et arabes.
Il a également réitéré l'engagement du gouvernement libanais à l'égard de la résolution onusienne 1701.
«L'essentiel, à présent, est qu'Israël s’engage à appliquer les résolutions internationales», a-t-il ajouté.
Le Conseil s’est réuni à la demande de la France, à la suite de la dernière escalade qui s’est traduite par une intensification des frappes israéliennes qui se sont étendues à de nombreuses régions sur tout le territoire libanais.
Lors de son allocution, M. Mikati a salué «l'effort sincère fourni par la France, en coopération avec les États-Unis, pour publier une déclaration conjointe soutenue par la communauté internationale, afin de mettre un terme à cette sale guerre».
Dans ce cadre, il a évoqué «l’escalade sans précédent» que connaît le Liban en ce moment, notamment avec l’utilisation de la nouvelle technologie à des fins militaires destructrices.
M. Mikati a également exposé la situation actuelle, mentionnant le nombre croissant de tués et de blessés civils, ainsi que la précarité du système hospitalier.
«Le Liban est aujourd'hui victime d'une agression cybernétique, aérienne et maritime, qui pourrait se transformer en agression terrestre et même entraîner une vaste guerre régionale», a-t-il déploré.
Dans ce contexte, il a exprimé son souhait d’obtenir, de la part du Conseil, «une position claire appelant à la cessation de cette agression et au respect de la souveraineté et de l'intégrité» du Liban.
Dans son intervention, le Premier ministre a mis en avant le danger expansionniste que représente Israël, à la fois pour le Liban et pour la région.
«Qui garantit que de telles attaques ne se produiront pas dans d'autres pays si des mesures dissuasives et punitives décisives ne sont pas prises à l'encontre de l'agresseur (Israël)?», a-t-il lancé.
Dans ce sens, il a rappelé la «longue histoire de conflits et de violations» qui lie le pays du Cèdre à l’État hébreu, témoignant des «agressions israéliennes continues contre le territoire libanais».
M. Mikati a alors souligné cette «violation flagrante de la souveraineté nationale et des droits (du Liban) en tant qu'État membre des Nations unies».
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