Le chef des Kataeb, le député Sami Gemayel, a appelé le Hezbollah, «qui a ouvert le front de soutien à Gaza (le front sud) à l’arrêter sans tarder et à remettre ses armes et ses équipements à l'armée libanaise».
Lors d'une conférence de presse à Bickfaya, M. Gemayel, qui a exprimé tout haut ce que de nombreux Libanais pensent, a vivement critiqué le chef de cette formation. «Nous avons entendu le dernier discours de Hassan Nasrallah et nous voulons lui dire qu'aucun parti ou individu n’a le droit d’entraîner le Liban dans une guerre. Cette guerre n'était pas défensive puisqu’elle a été lancée pour soutenir le Hamas», s’est-il indigné.
«Non seulement cette guerre a détruit le Liban, mais n'a pas servi à améliorer la situation à Gaza», a fait remarquer le chef des Kataëb qui a appelé Nasrallah à «avoir pitié des Libanais et à mettre fin aux hostilités».
«Trop, c’est trop», a encore M. Gemayel à l’adresse de Hassan Nasrallah, critiquant son argument, selon lequel le front sud est une «carte importante» lors des négociations pour Gaza. «Mais la vie des Libanais n’est pas une carte qu’on peut exploiter», s’est-il révolté, en relevant que l’ouverture du front sud a «montré à quel point le slogan selon lequel les armes du Hezb servent à protéger les Libanais est trompeur». «Ces armes n’ont entraîné que des tragédies pour les Libanais», a fulminé M. Gemayel, en relevant à l’adresse de Hassan Nasrallah toujours, que «ni l’Iran, ni la Syrie ont sacrifié, comme lui, leur propre peuple pour soutenir le Hamas».
Il a appelé ce dernier à «revenir au giron libanais pour une communauté de destin avec les Libanais et non pas avec les Iraniens, le Hamas ou autres».
M. Gemayel a en outre invité le président de la Chambre, Nabih Berry, sans le nommer, à «ouvrir les portes du Parlement pour que les députés discutent de ce qui se passe, afin que l’État puisse de nouveau assumer son rôle, parce que les Libanais sont aujourd’hui devenus les otages du Hezbollah d’une part et de la machine de guerre israélienne d’autres part».
Lors d'une conférence de presse à Bickfaya, M. Gemayel, qui a exprimé tout haut ce que de nombreux Libanais pensent, a vivement critiqué le chef de cette formation. «Nous avons entendu le dernier discours de Hassan Nasrallah et nous voulons lui dire qu'aucun parti ou individu n’a le droit d’entraîner le Liban dans une guerre. Cette guerre n'était pas défensive puisqu’elle a été lancée pour soutenir le Hamas», s’est-il indigné.
«Non seulement cette guerre a détruit le Liban, mais n'a pas servi à améliorer la situation à Gaza», a fait remarquer le chef des Kataëb qui a appelé Nasrallah à «avoir pitié des Libanais et à mettre fin aux hostilités».
«Trop, c’est trop», a encore M. Gemayel à l’adresse de Hassan Nasrallah, critiquant son argument, selon lequel le front sud est une «carte importante» lors des négociations pour Gaza. «Mais la vie des Libanais n’est pas une carte qu’on peut exploiter», s’est-il révolté, en relevant que l’ouverture du front sud a «montré à quel point le slogan selon lequel les armes du Hezb servent à protéger les Libanais est trompeur». «Ces armes n’ont entraîné que des tragédies pour les Libanais», a fulminé M. Gemayel, en relevant à l’adresse de Hassan Nasrallah toujours, que «ni l’Iran, ni la Syrie ont sacrifié, comme lui, leur propre peuple pour soutenir le Hamas».
Il a appelé ce dernier à «revenir au giron libanais pour une communauté de destin avec les Libanais et non pas avec les Iraniens, le Hamas ou autres».
M. Gemayel a en outre invité le président de la Chambre, Nabih Berry, sans le nommer, à «ouvrir les portes du Parlement pour que les députés discutent de ce qui se passe, afin que l’État puisse de nouveau assumer son rôle, parce que les Libanais sont aujourd’hui devenus les otages du Hezbollah d’une part et de la machine de guerre israélienne d’autres part».
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