Israël a annoncé que son armée a mené dimanche 120 nouvelles frappes aériennes ciblant des positions militaires du Hezbollah à travers le Liban. Ces attaques ont causé des destructions massives et un bilan tragique.
Le Centre des opérations d'urgence de la santé publique a signalé 32 morts et 53 blessés à Ain al-Delb, tandis que les efforts de sauvetage sont toujours en cours. D'autres bombardements israéliens ont également frappé le sud du Liban, notamment la vallée de la Békaa et la banlieue sud de Beyrouth.
À Baalbek, Jeb Jannine et Marjhine, de nombreuses habitations ont été détruites, et au moins dix morts ont été recensés à Marjhine seule. Dans la région de la Békaa, 47 personnes ont perdu la vie et 63 ont été blessées, selon George Kettaneh, secrétaire général de la Croix-Rouge libanaise. L'organisation reste pleinement mobilisée malgré les difficultés d'accès aux zones sinistrées.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a déclaré que cette campagne militaire vise à «éliminer la direction du Hezbollah et à remodeler le paysage stratégique au Moyen-Orient». Il a confirmé que les frappes se poursuivraient jusqu'à ce qu'Israël atteigne ses objectifs.
En réponse, le Hezbollah a lancé des attaques de roquettes contre des positions militaires israéliennes, ciblant spécifiquement les localités de Manara et Kiryat Shmona, ainsi que la ville de Safad. La formation pro-iranienne a par ailleurs déploré la perte de 17 personnes, dont plusieurs membres d'une même famille, à la suite d'une frappe aérienne israélienne sur Zeboud.
Alors que le conflit se poursuit, des efforts internationaux sont en cours pour désamorcer la situation. Le secrétaire d'État américain, Antony Blinken, a discuté des possibilités de cessez-le-feu avec son homologue français, mettant l'accent sur la mise en œuvre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l'ONU et le retour des otages de Gaza.
Le Centre des opérations d'urgence de la santé publique a signalé 32 morts et 53 blessés à Ain al-Delb, tandis que les efforts de sauvetage sont toujours en cours. D'autres bombardements israéliens ont également frappé le sud du Liban, notamment la vallée de la Békaa et la banlieue sud de Beyrouth.
À Baalbek, Jeb Jannine et Marjhine, de nombreuses habitations ont été détruites, et au moins dix morts ont été recensés à Marjhine seule. Dans la région de la Békaa, 47 personnes ont perdu la vie et 63 ont été blessées, selon George Kettaneh, secrétaire général de la Croix-Rouge libanaise. L'organisation reste pleinement mobilisée malgré les difficultés d'accès aux zones sinistrées.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a déclaré que cette campagne militaire vise à «éliminer la direction du Hezbollah et à remodeler le paysage stratégique au Moyen-Orient». Il a confirmé que les frappes se poursuivraient jusqu'à ce qu'Israël atteigne ses objectifs.
En réponse, le Hezbollah a lancé des attaques de roquettes contre des positions militaires israéliennes, ciblant spécifiquement les localités de Manara et Kiryat Shmona, ainsi que la ville de Safad. La formation pro-iranienne a par ailleurs déploré la perte de 17 personnes, dont plusieurs membres d'une même famille, à la suite d'une frappe aérienne israélienne sur Zeboud.
Alors que le conflit se poursuit, des efforts internationaux sont en cours pour désamorcer la situation. Le secrétaire d'État américain, Antony Blinken, a discuté des possibilités de cessez-le-feu avec son homologue français, mettant l'accent sur la mise en œuvre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l'ONU et le retour des otages de Gaza.
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