Compte tenu de l'aggravation de la crise sécuritaire au Liban, l'Association des familles des victimes de l'explosion au port de Beyrouth a annulé la manifestation qu'elle avait prévue pour marquer le 50ᵉ mois de la déflagration dévastatrice.
Cette décision, prise dans un contexte d'intensification de la violence, souligne la douleur et la frustration croissantes des familles qui cherchent toujours à obtenir justice.
Les familles ont publié un communiqué dans lequel elles ont exprimé leur tristesse, déplorant que le conflit en cours n'ait fait qu'aggraver leurs blessures.
«Alors que le Liban est confronté à un nouveau chapitre tragique, nous revivons le chagrin qui n'a jamais complètement guéri», ont-elles déclaré, rappelant l'explosion qui a coûté la vie à des centaines de personnes et laissé Beyrouth en ruines.
Les familles n'ont pas ménagé leurs critiques à l'égard de l'État, condamnant son incapacité à assurer une sécurité élémentaire. «Cette nouvelle agression met en évidence l'incapacité de l'État à protéger son peuple», ont-elles affirmé, établissant une comparaison entre la dévastation actuelle et la catastrophe du port de Beyrouth.
Malgré l'annulation de la commémoration publique, les familles ont souligné leur engagement inébranlable à demander des comptes, appelant à la justice non seulement pour leurs proches, mais aussi pour tous ceux qui souffrent de la violence actuelle.
«Nous sommes solidaires de toutes les personnes touchées et exigeons un Liban où la sécurité et la dignité sont respectées pour tous».
Elles se sont engagées à poursuivre leur combat pour que les responsables rendent des comptes.
Cette décision, prise dans un contexte d'intensification de la violence, souligne la douleur et la frustration croissantes des familles qui cherchent toujours à obtenir justice.
Les familles ont publié un communiqué dans lequel elles ont exprimé leur tristesse, déplorant que le conflit en cours n'ait fait qu'aggraver leurs blessures.
«Alors que le Liban est confronté à un nouveau chapitre tragique, nous revivons le chagrin qui n'a jamais complètement guéri», ont-elles déclaré, rappelant l'explosion qui a coûté la vie à des centaines de personnes et laissé Beyrouth en ruines.
Les familles n'ont pas ménagé leurs critiques à l'égard de l'État, condamnant son incapacité à assurer une sécurité élémentaire. «Cette nouvelle agression met en évidence l'incapacité de l'État à protéger son peuple», ont-elles affirmé, établissant une comparaison entre la dévastation actuelle et la catastrophe du port de Beyrouth.
Malgré l'annulation de la commémoration publique, les familles ont souligné leur engagement inébranlable à demander des comptes, appelant à la justice non seulement pour leurs proches, mais aussi pour tous ceux qui souffrent de la violence actuelle.
«Nous sommes solidaires de toutes les personnes touchées et exigeons un Liban où la sécurité et la dignité sont respectées pour tous».
Elles se sont engagées à poursuivre leur combat pour que les responsables rendent des comptes.
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