« Qu'y a-t-il à dire de moi ? Que peut-il y avoir à dire, je vous le demande, d'un homme que rien au monde n'intéresse que sa peinture - et aussi son jardin et ses fleurs ? »
Voilà comment le grand Claude Monet résume sa vie. Mais en fait…que de choses à dire, que d’impressions à écrire! Que de peintures à admirer!
Comment ne pas retomber amoureux des fleurs lorsque lui, le maître des Nymphéas, leur a redonné vie! Se balader dans son jardin mythique à Giverny et découvrir comme dans un rêve, le fameux bassin aux nénuphars qui a inspiré tant de chefs-d’œuvres.
Monter sur le pont tant de fois peint au-dessus de l’étang où se prélassent ces jolies fleurs, revoir chaque touche de pinceau, chaque parfum de printemps. Toucher à ce monde fantastique autour duquel l’artiste a passé la seconde partie de sa vie. Vivre Giverny dans un autre siècle.
Claude Monet, de caractère impulsif et qui se décourage facilement, est l’un des fondateurs du courant impressionniste. On pourrait même dire qu’il en est le père. Il est celui qui a donné le nom à ce courant grâce à sa fameuse petite toile: « Impression Soleil Couchant. »
Cette toile, qui a suscité tant de critiques, a fini par être la pièce maîtresse du Salon des Refusés ; ce Salon qui a ouvert la voie au courant auquel elle a donné son nom. C’est une peinture qui a changé l’histoire de l’art.
On aurait dit à l’artiste, histoire de le critiquer, que son travail n’est pas de la peinture, mais juste des impressions… et voilà comment, partant d’une mauvaise critique, est né le symbole d’un courant d’art.
Claude Monet, acquiert alors la jolie maison de Giverny, entourée de magnifiques jardins, d’un étang sous un pont et de fleurs, ouvrant ainsi la voie à un nouveau système de peinture. Il sort des quatre murs de son atelier pour peindre en pleine nature.
Il est attentif aux changements climatiques, aux heures des journées et aux moments lumineux. Il peint à plusieurs reprises les mêmes sujets sur ses toiles, à différents moments de la journée, selon les couleurs et les lueurs. Il recrée la lumière, il lui donne un sens et une origine. La fameuse série de toiles de La Cathédrale De Rouen, en est l’exemple même.
Il invite tous les artistes à venir peindre avec lui. Il est définitivement le père et le maître de l’impressionnisme. Il repeint les Nymphéas des centaines de fois. Il en perd la notion de leurs formes. Il est atteint de cataracte et il continue à mettre sur toiles des chefs-d’œuvre par le prisme de son regard, altéré par la vieillesse.
Il peint encore et encore. Il fait don de ses Nymphéas à la France. On les expose au musée de l’Orangerie du Palais du Louvre.
On reviendra les admirer des années plus tard. On en verra des tas de toiles parsemées dans les plus grands musées du monde. En effet, la série des Nymphéas compte plus de 250 toiles.
Claude Monet prétend n’être intéressé que par sa peinture, mais il intéresse tant d’amoureux de l’art. Il le fera bien après sa mort.
D’ailleurs, la légende raconte que le président Georges Clemenceau, son grand ami, aurait arraché les rideaux colorés de l’Élysée pour en envelopper son cercueil. Car Monet ne meurt pas dans le noir. Monet fait revivre la couleur qu’il a tant aimée.
« Ce que je ferai, ce sera l’impression de ce que j’aurai ressenti », répète le grand peintre qui fait tant rêver.
Car Claude Monet avec ses impressions… impressionne !
Voilà comment le grand Claude Monet résume sa vie. Mais en fait…que de choses à dire, que d’impressions à écrire! Que de peintures à admirer!
Comment ne pas retomber amoureux des fleurs lorsque lui, le maître des Nymphéas, leur a redonné vie! Se balader dans son jardin mythique à Giverny et découvrir comme dans un rêve, le fameux bassin aux nénuphars qui a inspiré tant de chefs-d’œuvres.
Monter sur le pont tant de fois peint au-dessus de l’étang où se prélassent ces jolies fleurs, revoir chaque touche de pinceau, chaque parfum de printemps. Toucher à ce monde fantastique autour duquel l’artiste a passé la seconde partie de sa vie. Vivre Giverny dans un autre siècle.
Claude Monet, de caractère impulsif et qui se décourage facilement, est l’un des fondateurs du courant impressionniste. On pourrait même dire qu’il en est le père. Il est celui qui a donné le nom à ce courant grâce à sa fameuse petite toile: « Impression Soleil Couchant. »
Cette toile, qui a suscité tant de critiques, a fini par être la pièce maîtresse du Salon des Refusés ; ce Salon qui a ouvert la voie au courant auquel elle a donné son nom. C’est une peinture qui a changé l’histoire de l’art.
On aurait dit à l’artiste, histoire de le critiquer, que son travail n’est pas de la peinture, mais juste des impressions… et voilà comment, partant d’une mauvaise critique, est né le symbole d’un courant d’art.
Claude Monet, acquiert alors la jolie maison de Giverny, entourée de magnifiques jardins, d’un étang sous un pont et de fleurs, ouvrant ainsi la voie à un nouveau système de peinture. Il sort des quatre murs de son atelier pour peindre en pleine nature.
Il est attentif aux changements climatiques, aux heures des journées et aux moments lumineux. Il peint à plusieurs reprises les mêmes sujets sur ses toiles, à différents moments de la journée, selon les couleurs et les lueurs. Il recrée la lumière, il lui donne un sens et une origine. La fameuse série de toiles de La Cathédrale De Rouen, en est l’exemple même.
Il invite tous les artistes à venir peindre avec lui. Il est définitivement le père et le maître de l’impressionnisme. Il repeint les Nymphéas des centaines de fois. Il en perd la notion de leurs formes. Il est atteint de cataracte et il continue à mettre sur toiles des chefs-d’œuvre par le prisme de son regard, altéré par la vieillesse.
Il peint encore et encore. Il fait don de ses Nymphéas à la France. On les expose au musée de l’Orangerie du Palais du Louvre.
On reviendra les admirer des années plus tard. On en verra des tas de toiles parsemées dans les plus grands musées du monde. En effet, la série des Nymphéas compte plus de 250 toiles.
Claude Monet prétend n’être intéressé que par sa peinture, mais il intéresse tant d’amoureux de l’art. Il le fera bien après sa mort.
D’ailleurs, la légende raconte que le président Georges Clemenceau, son grand ami, aurait arraché les rideaux colorés de l’Élysée pour en envelopper son cercueil. Car Monet ne meurt pas dans le noir. Monet fait revivre la couleur qu’il a tant aimée.
« Ce que je ferai, ce sera l’impression de ce que j’aurai ressenti », répète le grand peintre qui fait tant rêver.
Car Claude Monet avec ses impressions… impressionne !
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