Le gouverneur de la Banque du Liban, Riad Salamé, continue d'exercer ses fonctions à la Banque centrale comme d'ordinaire et tient des réunions du Conseil central de la BDL pour suivre la situation monétaire avec ses tenants et aboutissants. Mais cela ne signifie pas pour autant que le gouverneur est imperméable aux bruits qui circulent sur les velléités d'un groupe politique, le Courant patriotique libre en tête, de le limoger au plus vite afin de placer un nouveau gouverneur qui sera chargé de sauver la mise de ceux qui l’ont nommé au lieu d'élaborer un plan de sauvetage de la situation monétaire et bancaire.
À ce titre, des sources rapportent que très peu de personnes parmi les candidats approchés pour ce poste se sont montrées disposées à accepter cette proposition vu la kyrielle de questions rédhibitoires posées. En effet, ces personnes s’étonnent de la situation dans laquelle le pays se retrouve et craignent ouvertement l’échec en travaillant avec une caste politique qui a dilapidé les deniers publics et privés des décennies durant et qui n’hésitera pas à poursuivre dans la même lignée si elle est reconduite au pouvoir par les urnes.
De plus, les milieux locaux craignent que le poste de gouverneur de la Banque centrale ne soit lors de la prochaine étape sous le contrôle des forces politiques soutenant l’axe de la Moumanaa (obstructionniste, à savoir l’axe iranien) en tête desquelles figurent le Hezbollah et le Courant patriotique libre, ce qui exposera le prochain gouverneur aux sanctions américaines, rendant impossible tout contact ou tentative de mener à bien des politiques qui sortiront le Liban des crises financière et économique dans lesquelles il est gravement plongé.
Les personnes concernées par la question de remplacement du gouverneur de la Banque du Liban ont précisé que toute personnalité nommée à ce poste devra être adoubée au préalable par tous les partis politiques, en particulier le Hezbollah, qui n’hésitera pas à faire de toute nouvelle nomination à ce poste un conflit majeur entre les composantes du pouvoir au moment voulu. À moins que cette partie ne soit du même bord politique et cherche à travers cette nomination à combler le vide, ni plus ni moins, étant donné qu'elle fait peu de cas du système bancaire, y compris de la Banque centrale.
Des sources à la présidence de la République ont indiqué que les autorités libanaises ne sont pas encore parvenues à une décision ou un accord concernant la nomination d'un nouveau gouverneur pour la Banque du Liban au cas où ce dernier déciderait de quitter son poste ou que la décision de le limoger aurait été prise. Elles ont également indiqué que les discussions sur le remplacement du gouverneur sont dues à ses démêlées judiciaires au Liban et à l'étranger, rendant difficile pour lui de continuer à assumer ses fonctions. L’éventualité de son remplacement n’est pas un simple bruit de couloir ; cependant, aucune décision n’a encore été prise dans ce sens.
Ainsi, et jusqu'à nouvel ordre, Riad Salamé restera à son poste et les récents développements dans l'affaire de son frère, Raja Salamé, ont renforcé sa détermination à rester à son poste jusqu'à la dernière minute de son mandat. La décision du premier juge d'instruction du Mont-Liban, Nicolas Mansour, de laisser Raja Salamé libre sous caution signifie que les éléments du dossier sur la base desquels il a été arrêté n’appellent pas à une arrestation. Par conséquent, les preuves de son innocence l’emportent sur les preuves de l'accusation, et selon les proches du gouverneur, le frère sortira tôt ou tard étant donné que le dossier est presque vide et tous les indices et preuves légaux et judiciaires imposent sa libération. De même, ces proches ont laissé entendre que la caution de 500 milliards de livres libanaises est l’œuvre de pressions politiques pour que le frère reste en prison. Il s’agit d’un moyen de pression et d’une carte électorale que certains vont faire jouer en leur faveur auprès de leurs partisans aveuglés et ignares.
À ce titre, des sources rapportent que très peu de personnes parmi les candidats approchés pour ce poste se sont montrées disposées à accepter cette proposition vu la kyrielle de questions rédhibitoires posées. En effet, ces personnes s’étonnent de la situation dans laquelle le pays se retrouve et craignent ouvertement l’échec en travaillant avec une caste politique qui a dilapidé les deniers publics et privés des décennies durant et qui n’hésitera pas à poursuivre dans la même lignée si elle est reconduite au pouvoir par les urnes.
De plus, les milieux locaux craignent que le poste de gouverneur de la Banque centrale ne soit lors de la prochaine étape sous le contrôle des forces politiques soutenant l’axe de la Moumanaa (obstructionniste, à savoir l’axe iranien) en tête desquelles figurent le Hezbollah et le Courant patriotique libre, ce qui exposera le prochain gouverneur aux sanctions américaines, rendant impossible tout contact ou tentative de mener à bien des politiques qui sortiront le Liban des crises financière et économique dans lesquelles il est gravement plongé.
Les personnes concernées par la question de remplacement du gouverneur de la Banque du Liban ont précisé que toute personnalité nommée à ce poste devra être adoubée au préalable par tous les partis politiques, en particulier le Hezbollah, qui n’hésitera pas à faire de toute nouvelle nomination à ce poste un conflit majeur entre les composantes du pouvoir au moment voulu. À moins que cette partie ne soit du même bord politique et cherche à travers cette nomination à combler le vide, ni plus ni moins, étant donné qu'elle fait peu de cas du système bancaire, y compris de la Banque centrale.
Des sources à la présidence de la République ont indiqué que les autorités libanaises ne sont pas encore parvenues à une décision ou un accord concernant la nomination d'un nouveau gouverneur pour la Banque du Liban au cas où ce dernier déciderait de quitter son poste ou que la décision de le limoger aurait été prise. Elles ont également indiqué que les discussions sur le remplacement du gouverneur sont dues à ses démêlées judiciaires au Liban et à l'étranger, rendant difficile pour lui de continuer à assumer ses fonctions. L’éventualité de son remplacement n’est pas un simple bruit de couloir ; cependant, aucune décision n’a encore été prise dans ce sens.
Ainsi, et jusqu'à nouvel ordre, Riad Salamé restera à son poste et les récents développements dans l'affaire de son frère, Raja Salamé, ont renforcé sa détermination à rester à son poste jusqu'à la dernière minute de son mandat. La décision du premier juge d'instruction du Mont-Liban, Nicolas Mansour, de laisser Raja Salamé libre sous caution signifie que les éléments du dossier sur la base desquels il a été arrêté n’appellent pas à une arrestation. Par conséquent, les preuves de son innocence l’emportent sur les preuves de l'accusation, et selon les proches du gouverneur, le frère sortira tôt ou tard étant donné que le dossier est presque vide et tous les indices et preuves légaux et judiciaires imposent sa libération. De même, ces proches ont laissé entendre que la caution de 500 milliards de livres libanaises est l’œuvre de pressions politiques pour que le frère reste en prison. Il s’agit d’un moyen de pression et d’une carte électorale que certains vont faire jouer en leur faveur auprès de leurs partisans aveuglés et ignares.
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