Le comité représentatif des professeurs contractuels de l'Université libanaise (UL) a organisé un sit-in devant le Grand Sérail, réclamant la ratification du dossier concernant le changement de leur statut, qu’ils voudraient voir modifié en statut de plein temps. Ces enseignants affirment que cette décision pourrait sauver l’année universitaire de plus de 80.000 étudiants de l’UL.
Le communiqué transmis par les professeurs décrit leur situation de salariés «non-officiels et privés de leurs droits», comparés à leurs collègues cadrés qui bénéficient d’un revenu stable et de la sécurité sociale, alors qu'ils n'ont pas touché leurs salaires «depuis deux ans». De plus, ils refusent que cette action pour obtenir leurs droits soit interprétée par certains comme un prétexte pour les blâmer d’avoir mis l’année universitaire en péril. Ils soulignent dans leur communiqué qu'ils sont victimes, ainsi que les étudiants, «de politiques ratées, ayant conduit à une infrastructure défaillante en matière d’électricité, d’eau ou d’ascenseurs non-fonctionnels». Et les professeurs de mettre en garde contre l’écroulement de l’UL au profit des universités privées.
Le communiqué transmis par les professeurs décrit leur situation de salariés «non-officiels et privés de leurs droits», comparés à leurs collègues cadrés qui bénéficient d’un revenu stable et de la sécurité sociale, alors qu'ils n'ont pas touché leurs salaires «depuis deux ans». De plus, ils refusent que cette action pour obtenir leurs droits soit interprétée par certains comme un prétexte pour les blâmer d’avoir mis l’année universitaire en péril. Ils soulignent dans leur communiqué qu'ils sont victimes, ainsi que les étudiants, «de politiques ratées, ayant conduit à une infrastructure défaillante en matière d’électricité, d’eau ou d’ascenseurs non-fonctionnels». Et les professeurs de mettre en garde contre l’écroulement de l’UL au profit des universités privées.
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