«Avant d'agiter l'hérésie du contrôle des capitaux, qui accablera le citoyen et le rendra plus pauvre, que l’État mette la main sur les organismes de crédit illégaux et les soumette aux lois en vigueur», a souligné le Parti national libéral (PNL), lors de sa réunion périodique présidée par Camille Dory Chamoun. La formation chrétienne faisait allusion à l’association du Qard al-Hassan du Hezbollah. Le parti a également demandé l'établissement d'un plan global incluant la reconnaissance du gaspillage dont est responsable le pouvoir politique, afin d'entamer le redressement de la situation économique et financière.
Le PNL a parallèlement appelé "tous les parlementaires sans exception" à protéger l'argent des déposants, leur faisant porter une responsabilité historique à cet égard.
Concernant le vote des Libanais de l'étranger, les participants à la réunion ont exprimé leur crainte d'un processus de fraude massive qui pourrait advenir par le déplacement des urnes, en raison de l’éparpillement des voix "opéré délibérément" par le ministère des Affaires étrangères, à travers les bureaux de vote installés dans des villes éloignées les unes des autres.
Le Parti national libéral a enfin réclamé une fois de plus l'adoption d'une décentralisation administrative et financière élargie, l'État central ayant manifestement démontré son impuissance et son échec face au mini-État, en référence à l'influence exercée par le Hezbollah sur les institutions publiques.
Le PNL a parallèlement appelé "tous les parlementaires sans exception" à protéger l'argent des déposants, leur faisant porter une responsabilité historique à cet égard.
Concernant le vote des Libanais de l'étranger, les participants à la réunion ont exprimé leur crainte d'un processus de fraude massive qui pourrait advenir par le déplacement des urnes, en raison de l’éparpillement des voix "opéré délibérément" par le ministère des Affaires étrangères, à travers les bureaux de vote installés dans des villes éloignées les unes des autres.
Le Parti national libéral a enfin réclamé une fois de plus l'adoption d'une décentralisation administrative et financière élargie, l'État central ayant manifestement démontré son impuissance et son échec face au mini-État, en référence à l'influence exercée par le Hezbollah sur les institutions publiques.
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