Le discours télévisé du leader du Hezbollah, Hassan Nasrallah, vendredi après-midi a duré plus d’une heure et a été diffusé devant un grand parterre de partisans, à l’occasion de la journée d’al-Qods.
Le secrétaire-général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a déclaré vendredi que les élections au Liban n’empêcheront pas son parti de "riposter à une attaque israélienne" et qu’"il sera en état d’alerte maximale lorsque les manœuvres contre l’ennemi commenceront". Le chef du Hezbollah a tenu ces propos dans le cadre d’un discours télévisé pour la journée d’al-Qods, qui a lieu annuellement le dernier vendredi du mois du ramadan, en solidarité avec la Palestine.
Le leader du parti pro-iranien a profité de cette occasion pour tirer à boulets rouges sur l’État sioniste, le menaçant de représailles "rapides et directes", si des agressions majeures ou mineures seront dirigées contre le Liban. Hassan Nasrallah a en outre prévenu les dirigeants de l’État hébreu que le scrutin électoral libanais prévu le 15 mai prochain "ne constituera pas de diversion si la protection de la nation est en jeu".
Plus encore, le chef chiite s’est exprimé au nom de la République islamique iranienne, affirmant que celle-ci "pourrait très bien frapper directement Israël pour venger ses martyrs", mais aussi "si jamais ses violations se poursuivent", assurant qu’il faudra "faire face à la normalisation des relations avec le pays ennemi de manière frontale, car elles ne le protègeront pas".
Il convient de relever que le chef du Hezbollah s’est ainsi longtemps attardé sur la confrontation avec Israël ainsi que sur la cause palestinienne, mais a omis de mentionner l’assainissement récent des relations entre le Liban et les pays du Golfe.
Le secrétaire-général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a déclaré vendredi que les élections au Liban n’empêcheront pas son parti de "riposter à une attaque israélienne" et qu’"il sera en état d’alerte maximale lorsque les manœuvres contre l’ennemi commenceront". Le chef du Hezbollah a tenu ces propos dans le cadre d’un discours télévisé pour la journée d’al-Qods, qui a lieu annuellement le dernier vendredi du mois du ramadan, en solidarité avec la Palestine.
Le leader du parti pro-iranien a profité de cette occasion pour tirer à boulets rouges sur l’État sioniste, le menaçant de représailles "rapides et directes", si des agressions majeures ou mineures seront dirigées contre le Liban. Hassan Nasrallah a en outre prévenu les dirigeants de l’État hébreu que le scrutin électoral libanais prévu le 15 mai prochain "ne constituera pas de diversion si la protection de la nation est en jeu".
Plus encore, le chef chiite s’est exprimé au nom de la République islamique iranienne, affirmant que celle-ci "pourrait très bien frapper directement Israël pour venger ses martyrs", mais aussi "si jamais ses violations se poursuivent", assurant qu’il faudra "faire face à la normalisation des relations avec le pays ennemi de manière frontale, car elles ne le protègeront pas".
Il convient de relever que le chef du Hezbollah s’est ainsi longtemps attardé sur la confrontation avec Israël ainsi que sur la cause palestinienne, mais a omis de mentionner l’assainissement récent des relations entre le Liban et les pays du Golfe.
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