Pourquoi lit-on encore Camus? Pourquoi cet engouement pour son œuvre? Pourquoi lui et pas un autre?
Sans doute parce que l’homme de vérité ne vieillit pas. Encore un effort et il ne mourra pas.
Camus, c’est la voix de la vérité dans un monde où le mensonge, les pseudo-vérités, les dissimulations sont tels qu’il nous est très difficile de démêler le vrai du faux.
Camus, c’est la voix de l’authenticité et de l’honnêteté.
Camus nous parle. C’est un homme qui s’adresse à nous autres pour nous rappeler notre humanité. La seule richesse que nous possédons réellement.
Aujourd’hui, faute de pouvoir crier, on a plutôt envie de se taire, disait Camus.
Ces mots sont plus que jamais d’actualité. Ils font écho. Ils font sens. Ils nous parlent. Sans fards. Sans ambiguïté.
Et nous les entendons.
Nous les entendons tandis que partout dans le monde résonnent la clameur assourdissante des canons, la voix des opprimés, les pleurs des populations déplacées fuyant des conflits meurtriers.
Au milieu de cette cacophonie glaçante, la voix de Camus, telle une lueur réconfortante, s’élève. Elle dit: Je crois que l’homme, créature limitée, n’a pas encore fait tout ce qu’il pouvait faire dans ses limites.
Nous l’entendons.
Nous nous sentons soudain moins étrangers. Moins étrangers au monde. Et plus humains. Prêts à poursuivre le combat. Au nom de l’Homme.
Sans doute parce que l’homme de vérité ne vieillit pas. Encore un effort et il ne mourra pas.
Camus, c’est la voix de la vérité dans un monde où le mensonge, les pseudo-vérités, les dissimulations sont tels qu’il nous est très difficile de démêler le vrai du faux.
Camus, c’est la voix de l’authenticité et de l’honnêteté.
Camus nous parle. C’est un homme qui s’adresse à nous autres pour nous rappeler notre humanité. La seule richesse que nous possédons réellement.
Aujourd’hui, faute de pouvoir crier, on a plutôt envie de se taire, disait Camus.
Ces mots sont plus que jamais d’actualité. Ils font écho. Ils font sens. Ils nous parlent. Sans fards. Sans ambiguïté.
Et nous les entendons.
Nous les entendons tandis que partout dans le monde résonnent la clameur assourdissante des canons, la voix des opprimés, les pleurs des populations déplacées fuyant des conflits meurtriers.
Au milieu de cette cacophonie glaçante, la voix de Camus, telle une lueur réconfortante, s’élève. Elle dit: Je crois que l’homme, créature limitée, n’a pas encore fait tout ce qu’il pouvait faire dans ses limites.
Nous l’entendons.
Nous nous sentons soudain moins étrangers. Moins étrangers au monde. Et plus humains. Prêts à poursuivre le combat. Au nom de l’Homme.
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