©Les joueurs de l'AC Milan Sandro Tonali (à gauche, auteur d'un doublé) et Junior Messias à la fin du match sur le terrain du Hellas Vérone, dimanche. Miguel Medina/AFP
L'AC Milan, mis sous pression par l'Inter Milan, a conservé la tête de la Serie A à deux journées de la fin en s'imposant à Vérone (3-1) dimanche grâce à des buts venus de joueurs défensifs: Sandro Tonali et Alessandro Florenzi.
Deux caviars de Rafael Leao, convertis par Tonali, auteur d'un doublé (45+3e, 50e) le jour de ses 22 ans, ont remis en selle les Rossoneri après l'ouverture du score de l'Hellas Vérone, sur une tête de Davide Faraoni (38e).
Puis Florenzi a assuré le succès d'une frappe limpide (86e), deux minutes après son entrée.
Milan, en quête d'un premier scudetto depuis 2011, conserve deux longueurs d'avance sur l'Inter. Et montre qu'il sait garder des nerfs solides à l'approche de la ligne d'arrivée, dans une belle réplique à l'Inter qui, vendredi, avait aussi affiché son caractère en remontant deux buts pour battre l'Empoli (4-2) et passer provisoirement en tête.
Mais du caractère, Tonali n'en manque pas non plus. Pas abattu par un but refusé en début de match en raison d'un hors-jeu, ce fan de Gennaro Gattuso s'est jeté pour égaliser à la réception d'un centre de Leao, passé sur un coup de rein côté gauche.
Et dès la reprise, Tonali a récidivé sur une nouvelle accélération du bolide portugais, permettant à Milan de gérer.
"Je suis amoureux de mes joueurs! Mais on est déjà concentrés sur le prochain match, il faut continuer comme ça", a soufflé l'entraîneur Stefano Pioli, alors que le 19e scudetto se rapproche pour Milan qui, outre ses deux points d'avance, a aussi une différence particulière favorable avec l'Inter.
Suspense pour le maintien
Pour le maintien aussi, le suspense reste entier après le nul (1-1) entre la Salernitana (17e et premier non relégable) et Cagliari (18e) et la victoire du dernier, Venise, sur Bologne (4-3), après celle du Genoa (19e) devant la Juventus (2-1) vendredi.
La Salernitana, rejointe à la 9e minute du temps additionnel par les Sardes, conserve un point d'avance sur son adversaire du jour, deux sur le Genoa et cinq sur Venise. Les Grenats pensaient pourtant avoir fait le plus dur en ouvrant la marque grâce à un penalty signé Simone Verdi (68e). Un but suivi d'échauffourées devant les bancs de touche qui ont valu un carton rouge à Franck Ribéry, pourtant remplaçant. Mais Cagliari n'a jamais renoncé.
Et quelques secondes après avoir cru obtenir un penalty, accordé avant d'être annulé par la VAR (90+2e), l'égalisation de l'espoir est arrivée sur un coup de tête de Giorgio Altare (90+9e).
"Revenir comme ça est un signal important. Ce penalty refusé aurait abattu la plupart des gens", a savouré Alessandro Agostini, arrivé en début de semaine sur le banc de Cagliari après l'éviction de Walter Mazzarri.
Ce but égalisateur offre aussi un petit répit à Venise, qui aurait été officiellement condamné en cas de succès de la Salernitana.
Les Vénitiens ont gagné le droit d'espérer en arrachant la victoire - après dix revers consécutifs - dans le temps additionnel contre Bologne (4-3), grâce à un but de Dennis Johnsen (90+3e).
Sinisa Mihajlovic, pour son retour sur le banc de Bologne après sa récente nouvelle hospitalisation pour soigner sa leucémie, a toutefois dénoncé le penalty "inexplicable" qui a permis à Venise de revenir à 3-3 peu avant le but décisif.
Deux caviars de Rafael Leao, convertis par Tonali, auteur d'un doublé (45+3e, 50e) le jour de ses 22 ans, ont remis en selle les Rossoneri après l'ouverture du score de l'Hellas Vérone, sur une tête de Davide Faraoni (38e).
Puis Florenzi a assuré le succès d'une frappe limpide (86e), deux minutes après son entrée.
Milan, en quête d'un premier scudetto depuis 2011, conserve deux longueurs d'avance sur l'Inter. Et montre qu'il sait garder des nerfs solides à l'approche de la ligne d'arrivée, dans une belle réplique à l'Inter qui, vendredi, avait aussi affiché son caractère en remontant deux buts pour battre l'Empoli (4-2) et passer provisoirement en tête.
Mais du caractère, Tonali n'en manque pas non plus. Pas abattu par un but refusé en début de match en raison d'un hors-jeu, ce fan de Gennaro Gattuso s'est jeté pour égaliser à la réception d'un centre de Leao, passé sur un coup de rein côté gauche.
Et dès la reprise, Tonali a récidivé sur une nouvelle accélération du bolide portugais, permettant à Milan de gérer.
"Je suis amoureux de mes joueurs! Mais on est déjà concentrés sur le prochain match, il faut continuer comme ça", a soufflé l'entraîneur Stefano Pioli, alors que le 19e scudetto se rapproche pour Milan qui, outre ses deux points d'avance, a aussi une différence particulière favorable avec l'Inter.
Suspense pour le maintien
Pour le maintien aussi, le suspense reste entier après le nul (1-1) entre la Salernitana (17e et premier non relégable) et Cagliari (18e) et la victoire du dernier, Venise, sur Bologne (4-3), après celle du Genoa (19e) devant la Juventus (2-1) vendredi.
La Salernitana, rejointe à la 9e minute du temps additionnel par les Sardes, conserve un point d'avance sur son adversaire du jour, deux sur le Genoa et cinq sur Venise. Les Grenats pensaient pourtant avoir fait le plus dur en ouvrant la marque grâce à un penalty signé Simone Verdi (68e). Un but suivi d'échauffourées devant les bancs de touche qui ont valu un carton rouge à Franck Ribéry, pourtant remplaçant. Mais Cagliari n'a jamais renoncé.
Et quelques secondes après avoir cru obtenir un penalty, accordé avant d'être annulé par la VAR (90+2e), l'égalisation de l'espoir est arrivée sur un coup de tête de Giorgio Altare (90+9e).
"Revenir comme ça est un signal important. Ce penalty refusé aurait abattu la plupart des gens", a savouré Alessandro Agostini, arrivé en début de semaine sur le banc de Cagliari après l'éviction de Walter Mazzarri.
Ce but égalisateur offre aussi un petit répit à Venise, qui aurait été officiellement condamné en cas de succès de la Salernitana.
Les Vénitiens ont gagné le droit d'espérer en arrachant la victoire - après dix revers consécutifs - dans le temps additionnel contre Bologne (4-3), grâce à un but de Dennis Johnsen (90+3e).
Sinisa Mihajlovic, pour son retour sur le banc de Bologne après sa récente nouvelle hospitalisation pour soigner sa leucémie, a toutefois dénoncé le penalty "inexplicable" qui a permis à Venise de revenir à 3-3 peu avant le but décisif.
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