«Nous déclarons avoir le plus grand groupe (partisan) et la plus grande alliance au sein de la Chambre», a déclaré mardi le député réélu et chef du Courant patriotique libre Gebran Bassil, tout en précisant, non sans sembler se contredire, que «la majorité n’est entre les mains de personne».
Le député réélu et chef du Courant patriotique libre Gebran Bassil a donné mardi sa propre interprétation des résultats du scrutin de dimanche. «Nous déclarons avoir le plus grand groupe (partisan) et la plus grande alliance au sein de la Chambre», a-t-il dit lors d’une conférence de presse. Il a en même temps précisé, non sans sembler se contredire, que «la majorité n’est entre les mains de personne» et que son parti «ne relève d’aucun axe, ni à l’intérieur ni à l’extérieur, mais peut servir de liaison entre tous».
Les résultats officiels indiquent que le CPL a obtenu 17 sièges, contre 19 pour les Forces libanaises, ce que Gebran Bassil a feint d’occulter en accusant implicitement les FL d’avoir contribué à une hausse supplémentaire du taux de change la veille par l’annonce d’une «victoire illusoire». Il a toutefois reconnu la défaite du CPL à Jezzine dont il dit assumer la responsabilité, tout en accusant d'aucuns d'avoir «prémédité un plan contre nous» dans ce caza de la circonscription Sud I.
«Beaucoup prévoyaient notre échec et notre mort politique, mais les résultats ont confirmé (le slogan) que nous étions et nous restons», a-t-il ajouté.
«Nous sommes disposés à travailler avec toutes les parties, parce que nous sommes en paix avec nous-mêmes et réformistes», a indiqué le gendre du chef de l’Etat, tout en nourrissant les dissensions. «Le trio Nabih Berry (chef du mouvement Amal et président de la Chambre-Walid Joumlatt (leader du Parti socialiste progressiste)-FL a misé sur le vote de la diaspora mais en a payé le prix, tout comme les gens, parce qu’il aurait fallu par principe que les émigrés élisent leurs propres députés», selon lui.
Il a rejeté l’idée d’un cabinet de technocrates et précisé que son groupe serait baptisé de nouveau le groupe de la réforme et du changement, alors qu’il avait été désigné par «Liban fort» à l’issue du scrutin de 2018. «Des groupes issus de ce qu'on appelle la société civile ont émergé et il est temps que les plus sérieux fassent leurs preuves à travers le législatif et parlementaire», s'est-il contenté de dire.
Le député réélu et chef du Courant patriotique libre Gebran Bassil a donné mardi sa propre interprétation des résultats du scrutin de dimanche. «Nous déclarons avoir le plus grand groupe (partisan) et la plus grande alliance au sein de la Chambre», a-t-il dit lors d’une conférence de presse. Il a en même temps précisé, non sans sembler se contredire, que «la majorité n’est entre les mains de personne» et que son parti «ne relève d’aucun axe, ni à l’intérieur ni à l’extérieur, mais peut servir de liaison entre tous».
Les résultats officiels indiquent que le CPL a obtenu 17 sièges, contre 19 pour les Forces libanaises, ce que Gebran Bassil a feint d’occulter en accusant implicitement les FL d’avoir contribué à une hausse supplémentaire du taux de change la veille par l’annonce d’une «victoire illusoire». Il a toutefois reconnu la défaite du CPL à Jezzine dont il dit assumer la responsabilité, tout en accusant d'aucuns d'avoir «prémédité un plan contre nous» dans ce caza de la circonscription Sud I.
«Beaucoup prévoyaient notre échec et notre mort politique, mais les résultats ont confirmé (le slogan) que nous étions et nous restons», a-t-il ajouté.
«Nous sommes disposés à travailler avec toutes les parties, parce que nous sommes en paix avec nous-mêmes et réformistes», a indiqué le gendre du chef de l’Etat, tout en nourrissant les dissensions. «Le trio Nabih Berry (chef du mouvement Amal et président de la Chambre-Walid Joumlatt (leader du Parti socialiste progressiste)-FL a misé sur le vote de la diaspora mais en a payé le prix, tout comme les gens, parce qu’il aurait fallu par principe que les émigrés élisent leurs propres députés», selon lui.
Il a rejeté l’idée d’un cabinet de technocrates et précisé que son groupe serait baptisé de nouveau le groupe de la réforme et du changement, alors qu’il avait été désigné par «Liban fort» à l’issue du scrutin de 2018. «Des groupes issus de ce qu'on appelle la société civile ont émergé et il est temps que les plus sérieux fassent leurs preuves à travers le législatif et parlementaire», s'est-il contenté de dire.
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