Le chef des Marada, Sleiman Frangié, a appelé mercredi à revoir la loi électorale. «Nous avons accepté la loi électorale basée sur la proportionnelle et ses conséquences, mais il faudrait la revoir», a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse.
Il a plaidé en outre pour un cabinet d’union nationale.
«Nous devons aller de l’avant et voir comment nous pouvons sauver notre pays, parce que si nous ne participons pas tous à un cabinet d’union nationale, le pays sera paralysé», a-t-il dit, en appelant au «dialogue et l’ouverture mutuelle entre toutes les parties».
L'ancien ministre et député a tenu à préciser n’avoir «aucun problème avec les forces du changement», en référence aux candidats issus des rangs de la contestation et qui ont marqué des percées dans des bastions du pouvoir, comme Michel Doueihy, de la liste Chamalouna, qui a fait perdre un siège aux Marada à Zghorta.
«Je conseille aux forces du changement de ne pas s’imposer trop d’exigences et de conditions, au risque de s’isoler, parce que la réalité est différente des idéaux», a ajouté M. Frangié, dont le fils Tony a été réélu.
Il a plaidé en outre pour un cabinet d’union nationale.
«Nous devons aller de l’avant et voir comment nous pouvons sauver notre pays, parce que si nous ne participons pas tous à un cabinet d’union nationale, le pays sera paralysé», a-t-il dit, en appelant au «dialogue et l’ouverture mutuelle entre toutes les parties».
L'ancien ministre et député a tenu à préciser n’avoir «aucun problème avec les forces du changement», en référence aux candidats issus des rangs de la contestation et qui ont marqué des percées dans des bastions du pouvoir, comme Michel Doueihy, de la liste Chamalouna, qui a fait perdre un siège aux Marada à Zghorta.
«Je conseille aux forces du changement de ne pas s’imposer trop d’exigences et de conditions, au risque de s’isoler, parce que la réalité est différente des idéaux», a ajouté M. Frangié, dont le fils Tony a été réélu.
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