La longue expérience de Waddah Sadek dans la publicité et le marketing lui a certainement été utile lorsqu’il s’est présenté aux législatives de 2022, pour la première fois. Sa campagne électorale, notamment sur les réseaux sociaux, était marquée par une créativité probablement acquise lorsque son agence avait organisé celles des anciens Premiers ministres Rafic et Saad Hariri, mais également de dirigeants arabes, notamment irakien et libyen.
Issu de Tarik Jdidé, élu député de Beyrouth II sur la liste «Beyrouth le changement» aux côtés de deux de ses colistiers, il est le directeur exécutif du mouvement «Khatt ahmar» (ligne rouge), qu’il avait lancé en 2019 pendant le soulèvement populaire. Ce mouvement va se joindre à un autre groupe de la contestation du 17 octobre, «Likaa Techrine», pour constituer un parti politique, «Amam» (vers l’avant), qui sera bientôt lancé.
C’est dans les bureaux d’Amam à Gemmayzé qu’Ici Beyrouth a rencontré Waddah Sadek, dont la priorité est de «changer la ligne de conduite politique actuelle et demander des comptes à ceux qui ont conduit le pays à l’effondrement».
Confiant dans la capacité du Liban à se remettre sur pied et de la contribution de la diaspora à cette fin, il assure: «Nous pouvons commencer à construire le Liban en un an, et il deviendra un pays parfait en deux ans».
Parmi les «députés du changement», il est l’un de ceux qui tiennent le discours le plus clair, notamment à l’égard de la souveraineté et des armes du Hezbollah. S’il reconnaît que la décision à leur sujet sera prise à Téhéran et non à Beyrouth, il estime que pour les affaiblir, il est primordial de renforcer les institutions de l’État. Waddah Sadek appelle également à consacrer Beyrouth et les principales régions libanaises «villes sans armes».
Le député élu, qui fait face à une vaste campagne de dénigrement sur les réseaux sociaux, compte coordonner ses positions avec les députés du changement issus de l’opposition traditionnelle, et se déclare personnellement en faveur de la nomination de Nawaf Salam au poste de Premier ministre.
Pour ce qui est de la présidence du Parlement, il précise que le groupe parlementaire des députés du changement, qui se réunit régulièrement, ne votera pas pour Nabih Berry.
Ancien responsable et farouche supporter du club de football «Ansar», Waddah Sadek s’engage à éloigner le sport de la politique. Il a par ailleurs des projets immédiats très précis pour la ville de Beyrouth.
Issu de Tarik Jdidé, élu député de Beyrouth II sur la liste «Beyrouth le changement» aux côtés de deux de ses colistiers, il est le directeur exécutif du mouvement «Khatt ahmar» (ligne rouge), qu’il avait lancé en 2019 pendant le soulèvement populaire. Ce mouvement va se joindre à un autre groupe de la contestation du 17 octobre, «Likaa Techrine», pour constituer un parti politique, «Amam» (vers l’avant), qui sera bientôt lancé.
C’est dans les bureaux d’Amam à Gemmayzé qu’Ici Beyrouth a rencontré Waddah Sadek, dont la priorité est de «changer la ligne de conduite politique actuelle et demander des comptes à ceux qui ont conduit le pays à l’effondrement».
Confiant dans la capacité du Liban à se remettre sur pied et de la contribution de la diaspora à cette fin, il assure: «Nous pouvons commencer à construire le Liban en un an, et il deviendra un pays parfait en deux ans».
Parmi les «députés du changement», il est l’un de ceux qui tiennent le discours le plus clair, notamment à l’égard de la souveraineté et des armes du Hezbollah. S’il reconnaît que la décision à leur sujet sera prise à Téhéran et non à Beyrouth, il estime que pour les affaiblir, il est primordial de renforcer les institutions de l’État. Waddah Sadek appelle également à consacrer Beyrouth et les principales régions libanaises «villes sans armes».
Le député élu, qui fait face à une vaste campagne de dénigrement sur les réseaux sociaux, compte coordonner ses positions avec les députés du changement issus de l’opposition traditionnelle, et se déclare personnellement en faveur de la nomination de Nawaf Salam au poste de Premier ministre.
Pour ce qui est de la présidence du Parlement, il précise que le groupe parlementaire des députés du changement, qui se réunit régulièrement, ne votera pas pour Nabih Berry.
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