Le syndicat des hôpitaux au Liban a mis en garde samedi dans un communiqué contre une alternative qui risque de s’imposer à eux: soit la fermeture, soit l’exigence d'un règlement en espèces des factures des patients, s'il n'est pas donné aux hôpitaux la possibilité de puiser dans leurs comptes bancaires pour payer leurs équipements médicaux et non médicaux, ainsi que les salaires de leurs employés
Le syndicat a exhorté «le Premier ministre, le ministre du Travail, autorité de tutelle sur la Caisse nationale de Sécurité nationale, et le ministre de l’Intérieur, responsable de l’hospitalisation des membres des Forces de sécurité intérieure et du reste des forces de l’ordre, à intervenir rapidement auprès de la Banque centrale et de l’Association des banques du Liban (…) pour éviter le pire, à savoir la fermeture des hôpitaux ou alors l’exigence d'un règlement en espèces de l’intégralité des facures des patients». «Ce sont là deux options que nous ne souhaitons pas mais qui risquent de s’imposer à nous», a conclu le syndicat.
Le syndicat a exhorté «le Premier ministre, le ministre du Travail, autorité de tutelle sur la Caisse nationale de Sécurité nationale, et le ministre de l’Intérieur, responsable de l’hospitalisation des membres des Forces de sécurité intérieure et du reste des forces de l’ordre, à intervenir rapidement auprès de la Banque centrale et de l’Association des banques du Liban (…) pour éviter le pire, à savoir la fermeture des hôpitaux ou alors l’exigence d'un règlement en espèces de l’intégralité des facures des patients». «Ce sont là deux options que nous ne souhaitons pas mais qui risquent de s’imposer à nous», a conclu le syndicat.
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