Les élections ont commencé dimanche matin à l’Ordre des médecins de Beyrouth pour élire les seize membres du conseil de cette instance ainsi que son président.
Trois candidats sont en lice pour la succession du président actuel, Charaf Abou Charaf : Bernard Gerbaka, candidat officiel de l’Université Saint-Joseph de Beyrouth et de l’Hôtel Dieu de France (soutenu par le parti Kataëb et, éventuellement, par les Forces libanaises), Joseph Bakhache, candidat officiel de l’Université américaine de Beyrouth (indépendant, bénéficiant de l’appui du Courant patriotique libre) et Georges Habre (de la nouvelle opposition).
Dans la matinée, les médecins de Beyrouth doivent élire les membres du conseil de l’ordre et c’est l’après-midi, lors du deuxième tour qu’il sera procédé à l’élection de son président parmi les candidats élus au premier tour. Les élections surviennent alors que le secteur médical et hospitalier au Liban est sévèrement affecté par la crise économique et financière qui frappe le pays. Les grèves du corps médical et des hôpitaux se multiplient pour alerter les autorités sur les risques d’effondrement du secteur de la santé au Liban qui peine, faute de liquidité et du départ d’une véritable hémorragie au niveau de son personnel, à maintenir ses services.
Trois candidats sont en lice pour la succession du président actuel, Charaf Abou Charaf : Bernard Gerbaka, candidat officiel de l’Université Saint-Joseph de Beyrouth et de l’Hôtel Dieu de France (soutenu par le parti Kataëb et, éventuellement, par les Forces libanaises), Joseph Bakhache, candidat officiel de l’Université américaine de Beyrouth (indépendant, bénéficiant de l’appui du Courant patriotique libre) et Georges Habre (de la nouvelle opposition).
Dans la matinée, les médecins de Beyrouth doivent élire les membres du conseil de l’ordre et c’est l’après-midi, lors du deuxième tour qu’il sera procédé à l’élection de son président parmi les candidats élus au premier tour. Les élections surviennent alors que le secteur médical et hospitalier au Liban est sévèrement affecté par la crise économique et financière qui frappe le pays. Les grèves du corps médical et des hôpitaux se multiplient pour alerter les autorités sur les risques d’effondrement du secteur de la santé au Liban qui peine, faute de liquidité et du départ d’une véritable hémorragie au niveau de son personnel, à maintenir ses services.
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