©Hindley devient le premier Australien vainqueur du Giro. Photo Luca Bettini AFP
Jai Hindley (AUS/Bora), 15e de l'étape et vainqueur final: "Incroyable ! Incroyable ! C'est une émotion très forte que j'ai ressentie aujourd'hui. J'avais en tête ce qui s'était passé en 2020 et je n'allais pas laisser cela se reproduire. Je me sentais bien sur le vélo, je ne pensais pas vraiment aux autres coureurs car je savais que j'étais en train de faire un bon temps, j'ai pu prendre les virages avec prudence tout en essayant de garder l'écart jusqu'au bout. Je suis fier d'être Australien et je suis ravi d'être le premier à gagner le Giro."
Matteo Sobrero (ITA/BikeExchange), vainqueur de l'étape: "C'est quelque chose d'extraordinaire ! Pour l'équipe, c'est la deuxième victoire dans un chrono après Simon Yates (vainqueur de la 2e étape contre-la-montre). Cela résulte aussi d'un beau travail pendant l'intersaison. J'ai donné tout ce que j'avais dans la seconde moitié de course. Je n'en reviens pas de succéder à Filippo Ganna, qui est un grand ami. Je pense qu'il est fier de moi aujourd'hui."
Arnaud Démare (FRA/Groupama-FDJ), maillot cyclamen: "J'ai couru cette dernière étape avec beaucoup de plaisir. J'avais de bonnes sensations, mon épouse et mon père étaient dans la voiture, on a terminé dans arènes, c'était un beau chrono, il fallait seulement faire attention dans la descente qui était un peu humide. Je suis content. C'est un bilan extraordinaire pour moi et pour l'équipe, la récompense de tout un travail. En 2020, il y avait un gros challenge pour le maillot cyclamen. Cette fois, j'avais pas mal d'avance. Pendant la dernière semaine, j'étais concentré sur le gruppetto, sur les délais. Maintenant, j'entends les tifosi crier mon nom dans les cols, ça fait plaisir."
Mikel Landa (ESP/Bahrain), 3e du classement final: "La dernière semaine a été très difficile, je suis content de terminer sur le podium. Je remercie mes équipiers qui se sont donné à fond. Maintenant, il est temps de prendre du repos et récupérer. Il faudra décider si je cours le Tour de France ou la Vuelta."
Mathieu van der Poel (NED/Alpecin), 3e de l'étape: "Je suis à ma place. Je n'ai pas pu mettre autant de puissance que d'habitude. Je n'ai pas pu suivre la meilleure préparation pour le Giro en courant les classiques. Au départ, j'avais deux objectifs, gagner une étape et prendre le maillot rose d'une part, terminer le Giro ensuite. J'y suis arrivé. J'aurais aimé aussi gagner une deuxième étape mais ça n'a pas pu se faire. C'est un bon bilan."
Matteo Sobrero (ITA/BikeExchange), vainqueur de l'étape: "C'est quelque chose d'extraordinaire ! Pour l'équipe, c'est la deuxième victoire dans un chrono après Simon Yates (vainqueur de la 2e étape contre-la-montre). Cela résulte aussi d'un beau travail pendant l'intersaison. J'ai donné tout ce que j'avais dans la seconde moitié de course. Je n'en reviens pas de succéder à Filippo Ganna, qui est un grand ami. Je pense qu'il est fier de moi aujourd'hui."
Arnaud Démare (FRA/Groupama-FDJ), maillot cyclamen: "J'ai couru cette dernière étape avec beaucoup de plaisir. J'avais de bonnes sensations, mon épouse et mon père étaient dans la voiture, on a terminé dans arènes, c'était un beau chrono, il fallait seulement faire attention dans la descente qui était un peu humide. Je suis content. C'est un bilan extraordinaire pour moi et pour l'équipe, la récompense de tout un travail. En 2020, il y avait un gros challenge pour le maillot cyclamen. Cette fois, j'avais pas mal d'avance. Pendant la dernière semaine, j'étais concentré sur le gruppetto, sur les délais. Maintenant, j'entends les tifosi crier mon nom dans les cols, ça fait plaisir."
Mikel Landa (ESP/Bahrain), 3e du classement final: "La dernière semaine a été très difficile, je suis content de terminer sur le podium. Je remercie mes équipiers qui se sont donné à fond. Maintenant, il est temps de prendre du repos et récupérer. Il faudra décider si je cours le Tour de France ou la Vuelta."
Mathieu van der Poel (NED/Alpecin), 3e de l'étape: "Je suis à ma place. Je n'ai pas pu mettre autant de puissance que d'habitude. Je n'ai pas pu suivre la meilleure préparation pour le Giro en courant les classiques. Au départ, j'avais deux objectifs, gagner une étape et prendre le maillot rose d'une part, terminer le Giro ensuite. J'y suis arrivé. J'aurais aimé aussi gagner une deuxième étape mais ça n'a pas pu se faire. C'est un bon bilan."
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