L’ambassadrice d’Italie au Liban, Nicoletta Bombardiere, a estimé que «l’année en cours sera cruciale pour le Liban et pour le renouvellement de ses institutions démocratiques». «Les élections législatives sont une étape importante dans ce processus, compte tenu du rôle clé que joue le Parlement, aux côtés du gouvernement, pour mener les réformes nécessaires et pour assurer les services de base à la population», a-t-elle ajouté, lors d’un discours prononcé jeudi soir à l’occasion de la fête nationale italienne, célébrée le 2 juin.
«Le Liban peut relever le défi, a assuré Mme Bombardiere. Avec son parcours académique et entrepreneurial dynamique, sa société pluraliste et diversifiée, son capital humain talentueux et ses nombreux amis au sein de la communauté internationale, dont l’Italie.»
Elle a insisté dans ce cadre sur le fait que le soutien de l’Italie pour le pays du Cèdre «n’a jamais faibli, même dans les moments les plus difficiles». Mme Bombardiere a ainsi rappelé l’engagement de l’Italie pour la sécurité et la stabilité du Liban depuis les années 1980, la participation de son pays aux forces de la Finul, la mission bilatérale de formation militaire, les projets de développement social et économique, les projets pour améliorer l’infrastructure, mais aussi ceux réalisés dans les secteurs de la santé, de l’éducation, de l’eau, du patrimoine culturel et de la protection sociale, ainsi que la coopération culturelle et universitaire dans le cadre de laquelle des étudiants libanais ont l’opportunité de poursuivre leurs études dans des universités italiennes.
La cérémonie s’est tenue au palais Sursock, à Achrafieh, en présence notamment du ministre sortant de l’Économie, Amine Salam, représentant le chef de l’État, le président de la Chambre et le Premier ministre sortant, ainsi que de nombreux ministres, députés et personnalités diplomatiques.
Mme Bombardiere a expliqué avoir choisi de célébrer la fête nationale italienne au palais Sursock parce que «l’histoire du palais et de sa famille est liée à l’histoire de familles italiennes», mais surtout parce que cet endroit «porte toujours les stigmates» de la double explosion au port de Beyrouth, le 4 août 2020. «Ces stigmates nous rappellent des dégâts qui restent encore visibles sur plusieurs bâtiments dans certaines régions de Beyrouth», a-t-elle ajouté, notant que pour les familles des victimes, les cicatrices sont encore profondes.
Soulignant que «le Liban d’aujourd’hui est très différent de celui de 2019, date à laquelle s’est tenue la dernière cérémonie» marquant la fête nationale italienne, Mme Bombardiere a assuré que «chaque crise, quelle que soit sa gravité, devrait nous enseigner des leçons et nous inspirer pour créer un changement».
«Le Liban peut relever le défi, a assuré Mme Bombardiere. Avec son parcours académique et entrepreneurial dynamique, sa société pluraliste et diversifiée, son capital humain talentueux et ses nombreux amis au sein de la communauté internationale, dont l’Italie.»
Elle a insisté dans ce cadre sur le fait que le soutien de l’Italie pour le pays du Cèdre «n’a jamais faibli, même dans les moments les plus difficiles». Mme Bombardiere a ainsi rappelé l’engagement de l’Italie pour la sécurité et la stabilité du Liban depuis les années 1980, la participation de son pays aux forces de la Finul, la mission bilatérale de formation militaire, les projets de développement social et économique, les projets pour améliorer l’infrastructure, mais aussi ceux réalisés dans les secteurs de la santé, de l’éducation, de l’eau, du patrimoine culturel et de la protection sociale, ainsi que la coopération culturelle et universitaire dans le cadre de laquelle des étudiants libanais ont l’opportunité de poursuivre leurs études dans des universités italiennes.
La cérémonie s’est tenue au palais Sursock, à Achrafieh, en présence notamment du ministre sortant de l’Économie, Amine Salam, représentant le chef de l’État, le président de la Chambre et le Premier ministre sortant, ainsi que de nombreux ministres, députés et personnalités diplomatiques.
Mme Bombardiere a expliqué avoir choisi de célébrer la fête nationale italienne au palais Sursock parce que «l’histoire du palais et de sa famille est liée à l’histoire de familles italiennes», mais surtout parce que cet endroit «porte toujours les stigmates» de la double explosion au port de Beyrouth, le 4 août 2020. «Ces stigmates nous rappellent des dégâts qui restent encore visibles sur plusieurs bâtiments dans certaines régions de Beyrouth», a-t-elle ajouté, notant que pour les familles des victimes, les cicatrices sont encore profondes.
Soulignant que «le Liban d’aujourd’hui est très différent de celui de 2019, date à laquelle s’est tenue la dernière cérémonie» marquant la fête nationale italienne, Mme Bombardiere a assuré que «chaque crise, quelle que soit sa gravité, devrait nous enseigner des leçons et nous inspirer pour créer un changement».
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