Les élections très attendues du conseil et de la présidence de l’Ordre des pharmaciens auront lieu le dimanche 28 novembre 2021.
Quatre listes, « Conscience de la profession », « Mon Ordre mon soutien », « Les pharmaciens se révoltent » et « Vers un Ordre indépendant » sont en lice pour pourvoir aux dix-sept sièges répartis comme suit : onze pour le conseil de l’Ordre, quatre pour la caisse de retraite et deux pour le conseil de discipline.
Ces listes sont susceptibles de bénéficier d’appuis soit des partis politiques traditionnels, soit des différentes forces de l’opposition. Cependant, il est important de noter que toutes ces listes revendiquent leur indépendance, bien qu’elles comprennent des figures partisanes connues ou proches des partis, même si ces derniers n’ont pas manifesté leur soutien officiel.
Cette année, quatre pharmaciens briguent la présidence du conseil pour succéder à Ghassan El Amine, qui avait remporté haut la main les élections de 2018. Il s’agit de Ziad Nassour, ancien président de l’Ordre, Joe Salloum, Faraj Saadé et Nagi Germanos.
Selon des sources informées, Nassour serait soutenu par le tandem chiite, le Courant du Futur ainsi que par le Parti syrien national social (PSNS). Salloum serait appuyé par les Kataëb, les Forces Libanaises (FL), d’anciens membres du Courant Patriotique Libre (CPL) et certaines factions du mouvement du 17 octobre 2019 ; alors que Saadé bénéficierait d’un appui gauchisant. Germanos, quant à lui, aurait l’aval du Parti socialiste progressiste (PSP).
Pour prétendre à la présidence de l’Ordre, le candidat doit d’abord être élu au premier tour pour accéder au conseil. Une fois ce cap franchi, les urnes sont ré-ouvertes pour élire le président, qui doit nécessairement réunir deux conditions : avoir sa candidature validée pour la présidence, et être un membre élu du conseil de l’Ordre.
Quoi qu’il en soit, ces élections sont primordiales pour les pharmaciens qui traversent une période de crise aiguë. En effet, le corps pharmaceutique souffre dans tous ses secteurs de problèmes financiers menaçant son existence et sa pérennité. Par conséquent, il y va de l’avenir de la Pharmacie (dans toutes ses formes), et de son rôle indispensable vis-à-vis des malades et de la santé publique au Liban.
Quatre listes, « Conscience de la profession », « Mon Ordre mon soutien », « Les pharmaciens se révoltent » et « Vers un Ordre indépendant » sont en lice pour pourvoir aux dix-sept sièges répartis comme suit : onze pour le conseil de l’Ordre, quatre pour la caisse de retraite et deux pour le conseil de discipline.
Ces listes sont susceptibles de bénéficier d’appuis soit des partis politiques traditionnels, soit des différentes forces de l’opposition. Cependant, il est important de noter que toutes ces listes revendiquent leur indépendance, bien qu’elles comprennent des figures partisanes connues ou proches des partis, même si ces derniers n’ont pas manifesté leur soutien officiel.
Cette année, quatre pharmaciens briguent la présidence du conseil pour succéder à Ghassan El Amine, qui avait remporté haut la main les élections de 2018. Il s’agit de Ziad Nassour, ancien président de l’Ordre, Joe Salloum, Faraj Saadé et Nagi Germanos.
Selon des sources informées, Nassour serait soutenu par le tandem chiite, le Courant du Futur ainsi que par le Parti syrien national social (PSNS). Salloum serait appuyé par les Kataëb, les Forces Libanaises (FL), d’anciens membres du Courant Patriotique Libre (CPL) et certaines factions du mouvement du 17 octobre 2019 ; alors que Saadé bénéficierait d’un appui gauchisant. Germanos, quant à lui, aurait l’aval du Parti socialiste progressiste (PSP).
Pour prétendre à la présidence de l’Ordre, le candidat doit d’abord être élu au premier tour pour accéder au conseil. Une fois ce cap franchi, les urnes sont ré-ouvertes pour élire le président, qui doit nécessairement réunir deux conditions : avoir sa candidature validée pour la présidence, et être un membre élu du conseil de l’Ordre.
Quoi qu’il en soit, ces élections sont primordiales pour les pharmaciens qui traversent une période de crise aiguë. En effet, le corps pharmaceutique souffre dans tous ses secteurs de problèmes financiers menaçant son existence et sa pérennité. Par conséquent, il y va de l’avenir de la Pharmacie (dans toutes ses formes), et de son rôle indispensable vis-à-vis des malades et de la santé publique au Liban.
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