©Le Japonais Kamui Kobayashi au volant de la Toyota GR010 Hybrid Hypercar WEC au Mans, mercredi. Jean-Francois Monier/AFP
La N.708 de l'équipe américaine Glickenhaus, Petit Poucet dans la catégorie reine des hypercars, a surpris les Toyota N.7 et N.8 en faisant le meilleur temps de la deuxième séance d'essais libres des 24 Heures du Mans mercredi, la première de nuit.
Avec un temps de 3 min 28 sec 900/1000 lorsque le Français Romain Dumas était au volant, l'hypercar également pilotée par son compatriote Olivier Pla et par le Brésilien Felipe Derani a même réussi un meilleur temps qu'en 2021 à ce stade de la course.
En tête des qualifications, la Toyota N.7 a fait le deuxième temps en toute fin de séance (3 min 29 sec 164/1000).
C'est pourtant Brendon Hartley qui avait allumé la première mèche en établissant un chrono en-dessous de 3 min 30 sec avec la Toyota N.8. Une demi-heure après le début de la séance, le Néo-Zélandais est en revanche parti à la faute en allant tout droit dans un virage, avant de repartir sans encombre. En tête après les premiers essais libres dans l'après-midi, l'équipage doit cette fois se contenter de la troisième place (3 min 29 sec 248/1000).
Cette séance confirme la bonne impression donnée par Glickenhaus toute la journée et donne une première tendance: les deux véhicules semblent davantage en mesure de concurrencer les Toyota que l'Alpine, qui termine derrière la N.709 américaine, à la cinquième place.
Dans la catégorie LMP2, c'est encore la WRT N.31 qui est allée le plus vite, emmenée par le Danois Michael Christensen, le Français Kevin Estre et le Belge Laurens Vanthoor, accrochant la sixième place en 3 min 33 sec 119/1000.
En LMGTE Pro, la Corvette N.63 --qui était déjà devant à l'issue de la première séance d'essais libres-- a encore dominé sa catégorie, avec l'Espagnol Antonio Garça, l'Américain Jordan Taylor et le Néerlandais Nicky Catsburg en 3 min 53 sec 250/1000.
Enfin la Team Project N.46 de l'Italien Matteo Cairoli, du Danois Mikkel Pedersen et du Suisse Nicolas Leuwiler a terminé en tête de la catégorie LMGTE Am en 3 min 55 sec 629/1000.
Avec un temps de 3 min 28 sec 900/1000 lorsque le Français Romain Dumas était au volant, l'hypercar également pilotée par son compatriote Olivier Pla et par le Brésilien Felipe Derani a même réussi un meilleur temps qu'en 2021 à ce stade de la course.
En tête des qualifications, la Toyota N.7 a fait le deuxième temps en toute fin de séance (3 min 29 sec 164/1000).
C'est pourtant Brendon Hartley qui avait allumé la première mèche en établissant un chrono en-dessous de 3 min 30 sec avec la Toyota N.8. Une demi-heure après le début de la séance, le Néo-Zélandais est en revanche parti à la faute en allant tout droit dans un virage, avant de repartir sans encombre. En tête après les premiers essais libres dans l'après-midi, l'équipage doit cette fois se contenter de la troisième place (3 min 29 sec 248/1000).
Cette séance confirme la bonne impression donnée par Glickenhaus toute la journée et donne une première tendance: les deux véhicules semblent davantage en mesure de concurrencer les Toyota que l'Alpine, qui termine derrière la N.709 américaine, à la cinquième place.
Dans la catégorie LMP2, c'est encore la WRT N.31 qui est allée le plus vite, emmenée par le Danois Michael Christensen, le Français Kevin Estre et le Belge Laurens Vanthoor, accrochant la sixième place en 3 min 33 sec 119/1000.
En LMGTE Pro, la Corvette N.63 --qui était déjà devant à l'issue de la première séance d'essais libres-- a encore dominé sa catégorie, avec l'Espagnol Antonio Garça, l'Américain Jordan Taylor et le Néerlandais Nicky Catsburg en 3 min 53 sec 250/1000.
Enfin la Team Project N.46 de l'Italien Matteo Cairoli, du Danois Mikkel Pedersen et du Suisse Nicolas Leuwiler a terminé en tête de la catégorie LMGTE Am en 3 min 55 sec 629/1000.
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