Le ministre de l'Économie et du Commerce Amine Salam a présidé jeudi la première réunion du Conseil national de politique des prix. Il s'agit de toute évidence d'une réunion de reconnaissance qui doit servir de base à d'autres afin d'établir le plan d'action de cette instance, puisque le ministre n'a pas donné de détails à ce sujet dans la conférence de presse qu'il a tenue au terme de la réunion, se contentant de principes généraux sur l'importance de ce conseil.
Le chef de l'État Michel Aoun avait signé fin mai le décret formation de cette instance, créée en 1974 mais qui n'avait pas encore été constituée. Dans sa conférence de presse, M. Salam a indiqué que les attributions du Conseil ont été discutées, soulignant que "les solutions doivent être durables". "C’est de cette manière que nous pouvons améliorer les choses. Nous parlons de rétablir la confiance dans l'économie nationale et tous les secteurs, et cela nécessite d'abord la confiance interne par le consommateur libanais, suivi par l'étranger, puis l'investisseur et la communauté internationale".
Amine Salam a assuré que ce conseil est "le principal pilier du retour du rôle du ministère dans la vision économique", rappelant que "l’inflation sur le marché mondial n’a de cesse d’augmenter, ce qui frappe de plein fouet l'économie libanaise dépendante à 90% de l'importation". Selon ses explications, ce conseil est basé sur trois axes: l’amélioration de la confiance entre les Libanais et les institutions publiques, la coordination entre les parties concernées pour la question des prix et de la vision économique, et enfin la durabilité.
Le chef de l’Association des commerçants de Beyrouth Nicolas Chammas a pour sa part salué la mise en place de ce conseil surtout qu’il comprend les organismes économiques, la CGTL et l’État.
Le chef de l'État Michel Aoun avait signé fin mai le décret formation de cette instance, créée en 1974 mais qui n'avait pas encore été constituée. Dans sa conférence de presse, M. Salam a indiqué que les attributions du Conseil ont été discutées, soulignant que "les solutions doivent être durables". "C’est de cette manière que nous pouvons améliorer les choses. Nous parlons de rétablir la confiance dans l'économie nationale et tous les secteurs, et cela nécessite d'abord la confiance interne par le consommateur libanais, suivi par l'étranger, puis l'investisseur et la communauté internationale".
Amine Salam a assuré que ce conseil est "le principal pilier du retour du rôle du ministère dans la vision économique", rappelant que "l’inflation sur le marché mondial n’a de cesse d’augmenter, ce qui frappe de plein fouet l'économie libanaise dépendante à 90% de l'importation". Selon ses explications, ce conseil est basé sur trois axes: l’amélioration de la confiance entre les Libanais et les institutions publiques, la coordination entre les parties concernées pour la question des prix et de la vision économique, et enfin la durabilité.
Le chef de l’Association des commerçants de Beyrouth Nicolas Chammas a pour sa part salué la mise en place de ce conseil surtout qu’il comprend les organismes économiques, la CGTL et l’État.
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