Le chef des Forces Libanaises, Samir Geagea, a reçu lundi à Meerab les députés Wael Bou Faour et Akram Cheyaheb, délégués par le chef du Parti socialiste progressiste, Walid Joumblatt. L'objectif de l'entretien était de coordonner les efforts dans la perspective d'une unification des positions entre les forces de l’opposition.
La réunion à laquelle le député Ziad Hawat a pris part a été qualifiée de positive par M. Geagea qui a souligné la nécessité «pour toutes les forces de l’opposition d'assumer leur responsabilité envers leurs électeurs». Et d’ajouter que «si l’opposition échoue à s’unifier, il ne faudra alors pas blâmer le régime actuel dont nous savons très bien comment il fonctionne». Pour ce qui est de la formation du prochain gouvernement, M. Geagea a déclaré que le retard «n’est pas dû à la visite du médiateur américain Amos Hochstein, ni à l’élection des commissions parlementaires, mais plutôt au fait que certaines personnes essaient de mettre la main sur le gouvernement avant la fin du mandat présidentiel, pour qu'elles poursuivent leur politique de pots-de-vin». Il faisait notamment allusion au chef du CPL, Gebran Bassil.
«Aujourd’hui, nous sommes face à une nouvelle impasse», a-t-il poursuivi avant d'appeler le président de la République à convoquer sans tarder les consultations parlementaires contraignantes pour la désignation d'un Premier ministre.
Sur la question de savoir si les FL soutiennent un candidat déterminé à la prochaine présidentielle, Samir Geagea a affirmé que le choix de son parti se fera en dernière minute, en ajoutant: «Si quelqu’un risque de bloquer ces deux échéances, ce sera une personne dont le prénom commence avec un G», en allusion à Gebran Bassil.
La réunion à laquelle le député Ziad Hawat a pris part a été qualifiée de positive par M. Geagea qui a souligné la nécessité «pour toutes les forces de l’opposition d'assumer leur responsabilité envers leurs électeurs». Et d’ajouter que «si l’opposition échoue à s’unifier, il ne faudra alors pas blâmer le régime actuel dont nous savons très bien comment il fonctionne». Pour ce qui est de la formation du prochain gouvernement, M. Geagea a déclaré que le retard «n’est pas dû à la visite du médiateur américain Amos Hochstein, ni à l’élection des commissions parlementaires, mais plutôt au fait que certaines personnes essaient de mettre la main sur le gouvernement avant la fin du mandat présidentiel, pour qu'elles poursuivent leur politique de pots-de-vin». Il faisait notamment allusion au chef du CPL, Gebran Bassil.
«Aujourd’hui, nous sommes face à une nouvelle impasse», a-t-il poursuivi avant d'appeler le président de la République à convoquer sans tarder les consultations parlementaires contraignantes pour la désignation d'un Premier ministre.
Sur la question de savoir si les FL soutiennent un candidat déterminé à la prochaine présidentielle, Samir Geagea a affirmé que le choix de son parti se fera en dernière minute, en ajoutant: «Si quelqu’un risque de bloquer ces deux échéances, ce sera une personne dont le prénom commence avec un G», en allusion à Gebran Bassil.
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