Le Rassemblement de Saydet el-Jabal et le Conseil national contre l’occupation iranienne ont appelé lundi «tous les pays et les différents partis et acteurs libanais à se retenir de tout compromis ou toute coexistence avec le Hezbollah, de quelque manière et à quelque niveau que ce soit, ce parti étant une organisation sécuritaire et militaire qui domine la vie politique par le moyen d'armes munies de silencieux (en référence aux liquidations politiques dont le Hezbollah serait l'auteur, ndlr) et d'explosifs (en allusion aux attentats terroristes auxquels le Hezbollah a été associé, à commencer par l'attentat du 14 février 2005 contre l'ancien Premier ministre Rafic Hariri, ndlr)».
Ces deux groupes d'opposition ont consacré leur rencontre hebdomdaire à la peine prononcée le jeudi 16 mars par le Tribunal spécial pour le Liban (TSL) contre deux membres du Hezbollah jugés coupables dans l'affaire de l'assassinat de Hariri. Dans leur communiqué, ils ont réagi au refus déclaré du parti chiite répondant de l'Iran de remettre les coupables en question, à savoir Hassan Merhi et Hussein Oneissi. «Le refus par cette milice de reconnaître la justice libanaise et internationale a pour seul but de fragiliser les fondations de l’État et celles du vivre-ensemble qui reposent sur le respect de la justice et de la liberté», selon le communiqué.
«Le prochain gouvernement devra faire preuve de fermeté et de volonté à poursuivre les coupables et exécuter le jugement», selon le texte. «Tout comme nous avons pu offir une justice à Rafic Hariri» et aux victimes du 14 février, «nous ferons en sorte que justice soit faite pour les victimes de la double explosion au port de Beyrouth», a ajouté le communiqué.
Il est nécessaire que «la communauté internationale et les forces souverainistes du Liban confrontent politiquement la milice du Hezbollah pour qu’elle rende ses armes et pour que l’armée se déploie sur toutes les frontières, conformément à la Constitution et aux résolution 1559 et 1701» du Conseil de sécurité des Nations unies, mais aussi «pour remettre à la justice ceux qui ont planifié et exécuté l’assassinat de personnalités» politiques et «des citoyens innocents».
Ces deux groupes d'opposition ont consacré leur rencontre hebdomdaire à la peine prononcée le jeudi 16 mars par le Tribunal spécial pour le Liban (TSL) contre deux membres du Hezbollah jugés coupables dans l'affaire de l'assassinat de Hariri. Dans leur communiqué, ils ont réagi au refus déclaré du parti chiite répondant de l'Iran de remettre les coupables en question, à savoir Hassan Merhi et Hussein Oneissi. «Le refus par cette milice de reconnaître la justice libanaise et internationale a pour seul but de fragiliser les fondations de l’État et celles du vivre-ensemble qui reposent sur le respect de la justice et de la liberté», selon le communiqué.
«Le prochain gouvernement devra faire preuve de fermeté et de volonté à poursuivre les coupables et exécuter le jugement», selon le texte. «Tout comme nous avons pu offir une justice à Rafic Hariri» et aux victimes du 14 février, «nous ferons en sorte que justice soit faite pour les victimes de la double explosion au port de Beyrouth», a ajouté le communiqué.
Il est nécessaire que «la communauté internationale et les forces souverainistes du Liban confrontent politiquement la milice du Hezbollah pour qu’elle rende ses armes et pour que l’armée se déploie sur toutes les frontières, conformément à la Constitution et aux résolution 1559 et 1701» du Conseil de sécurité des Nations unies, mais aussi «pour remettre à la justice ceux qui ont planifié et exécuté l’assassinat de personnalités» politiques et «des citoyens innocents».
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