Le chef du Mouvement de l’indépendance, le député Michel Moawad, a annoncé mercredi «une décision préliminaire de travailler conjointement» avec les députés Fouad Makhzoumi (Beyrouth II), Achraf Rifi (Tripoli) et Adib Abdelmassih (Koura) dans le cadre d'un groupe parlementaire qui sera annoncé prochainement, sous l'étiquette de "Bloc souverain indépendant".
Au cours d’une conférence de presse tenue à son domicile à Baabda en présence de MM. Makhzoumi, Rifi et Abdelmassih, M. Moawad a précisé que "cette réunion de concertation au sujet des consultations parlementaires au palais de Baabda pour désigner un nouveau Premier ministre, va se transformer en réunion régulière dans le cadre d'un groupe parlementaire."
Il a souligné que "la dispersion de l’opposition entrave le changement", ajoutant: "Nous avons constaté cela lors de l’élection du président du Parlement et des commissions parlementaires et nous le remarquons aujourd’hui concernant la désignation du Premier ministre."
"Nous ne désignerons aucun candidat faisant partie du système politique actuel pour la fonction de Premier ministre, et spécifiquement Nagib Mikati", a annoncé M. Moawad, ajoutant: "Nous nous efforcerons de créer une option politique de poids face à la désignation de Nagib Mikati."
Concernant les rencontres avec les députés Rifi, Makhzoumi et Abdelmassih, il a précisé: "Nous avons des convictions communes, notamment le fait que la confrontation doit être nationale et non confessionnelle."
"Les blocs confessionnels ne résoudront pas le problème, et la confrontation oppose le Liban de la souveraineté, de la stabilité et de la prospérité pour toutes les communautés, au Liban de l’hégémonie, de l’axe (pro-iranien) et de la pauvreté", a-t-il ajouté, avant de poursuivre: "Le principal problème auquel nous sommes confrontés aujourd'hui est celui de la souveraineté, de l'occupation, et de l’hégémonie d'une milice armée sur la décision constitutionnelle libanaise."
"Cette hégémonie isole le Liban de son environnement arabe et de la communauté internationale, provoque une instabilité politique, retient la vie politique en otage, et empêche de réaliser la justice", a souligné M, Moawad, qui a également dénoncé la politique du blocage et des vétos.
Il a enfin souligné la nécessité de créer "une option politique de poids qui maintiendrait le contact avec tous les groupes d’opposition, notamment les députés du changement, les Kataëb, les Forces libanaises et le Parti socialiste progressiste, afin que nous puissions réaliser le changement et que nous ne restions pas une simple force d’opposition".
Au cours d’une conférence de presse tenue à son domicile à Baabda en présence de MM. Makhzoumi, Rifi et Abdelmassih, M. Moawad a précisé que "cette réunion de concertation au sujet des consultations parlementaires au palais de Baabda pour désigner un nouveau Premier ministre, va se transformer en réunion régulière dans le cadre d'un groupe parlementaire."
Il a souligné que "la dispersion de l’opposition entrave le changement", ajoutant: "Nous avons constaté cela lors de l’élection du président du Parlement et des commissions parlementaires et nous le remarquons aujourd’hui concernant la désignation du Premier ministre."
"Nous ne désignerons aucun candidat faisant partie du système politique actuel pour la fonction de Premier ministre, et spécifiquement Nagib Mikati", a annoncé M. Moawad, ajoutant: "Nous nous efforcerons de créer une option politique de poids face à la désignation de Nagib Mikati."
Concernant les rencontres avec les députés Rifi, Makhzoumi et Abdelmassih, il a précisé: "Nous avons des convictions communes, notamment le fait que la confrontation doit être nationale et non confessionnelle."
"Les blocs confessionnels ne résoudront pas le problème, et la confrontation oppose le Liban de la souveraineté, de la stabilité et de la prospérité pour toutes les communautés, au Liban de l’hégémonie, de l’axe (pro-iranien) et de la pauvreté", a-t-il ajouté, avant de poursuivre: "Le principal problème auquel nous sommes confrontés aujourd'hui est celui de la souveraineté, de l'occupation, et de l’hégémonie d'une milice armée sur la décision constitutionnelle libanaise."
"Cette hégémonie isole le Liban de son environnement arabe et de la communauté internationale, provoque une instabilité politique, retient la vie politique en otage, et empêche de réaliser la justice", a souligné M, Moawad, qui a également dénoncé la politique du blocage et des vétos.
Il a enfin souligné la nécessité de créer "une option politique de poids qui maintiendrait le contact avec tous les groupes d’opposition, notamment les députés du changement, les Kataëb, les Forces libanaises et le Parti socialiste progressiste, afin que nous puissions réaliser le changement et que nous ne restions pas une simple force d’opposition".
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