L’Association des banques au Liban (ABL) a réaffirmé mercredi “qu’elle ne s’opposait pas dans l’absolu à un accord entre le FMI et l’État, d’autant qu’elle le considère comme l’une des plus importantes portes de solution pour une sortie de la crise actuelle”.
L’ABL a toutefois souligné dans un communiqué que “tout règlement doit concilier entre une hiérarchie des responsabilités et une répartition des pertes de sorte que les banques et les déposants n’assument pas l’intégralité des pertes occasionnées par le secteur public au fil des ans”.
"Des efforts doivent être déployés pour examiner les solutions actuellement disponibles afin de combler le trou financier, tout en préservant les fonds des déposants et non en les radiant", relève le communiqué.
L’ABL a toutefois souligné dans un communiqué que “tout règlement doit concilier entre une hiérarchie des responsabilités et une répartition des pertes de sorte que les banques et les déposants n’assument pas l’intégralité des pertes occasionnées par le secteur public au fil des ans”.
"Des efforts doivent être déployés pour examiner les solutions actuellement disponibles afin de combler le trou financier, tout en préservant les fonds des déposants et non en les radiant", relève le communiqué.
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