Le patriarche maronite Béchara Raï a estimé que « nul n'est plus fort que Dieu, ni par son influence, ni par son autorité, ni par son argent, ni par ses armes, ni par son orgueil ».
Lors d’une homélie dans la basilique Notre-Dame du Liban a Harissa, Mgr Raï a ajouté que « le Liban ne peut plus tolérer ce genre de pratiques politiques, qui ont détruit l'économie de l'État et l'argent public, perturbé les organismes de contrôle des ministères et des administrations et jeté le peuple dans un état de pauvreté absolue ».
« Nous avons besoin d'un nouveau leadership impartial caractérisé par un esprit de responsabilité et par la connaissance des affaires économiques, capable de sortir le pays de la crise économique étouffante, et caractérisée par la conscience et le courage de lancer des réformes dans les secteurs les plus cruciaux», a souligné le prélat maronite.
« Le Liban a d’abord besoin de stabilité politique pour résoudre ses crises, une stabilité tributaire d’un gouvernement qui assume toutes ses responsabilités en tant que pouvoir exécutif, et d’un nouveau président de la République qui lance une approche constructive », a martelé Mgr Raï.
Il a indiqué que «la situation du pays ne permet pas de désaccord sur la forme de gouvernement, ni de doute au sujet de la tenue des élections présidentielles", ajoutant qu’il s’agit de « deux échéances constitutionnelles qui ne tolèrent pas de désaccord ».
Il a ajouté que le pays a besoin du pouvoir exécutif, « qui est partagé selon la Constitution entre le président de la République (articles 49-53), le président du Conseil des ministres (article 6), et le Conseil des ministres (articles 65- 72) ».
Et de poursuivre : «Sans ce pouvoir exécutif avec ses trois composantes, le Liban ne peut pas négocier avec le Fonds Monétaire International, mener des réformes, respecter les résolutions du Conseil de sécurité, compléter la démarcation des frontières maritimes, forer pour extraire du gaz, élaborer une stratégie de défense et résoudre le problème des réfugiés et des déplacés».
Sans cela, il n’est pas possible non plus, a ajouté le prélat maronite, de ramener le Liban à son état normal de pays qui applique la neutralité positive et imposer le prestige de l'État, loin de toute ingérence politique et confessionnelle.
Lors d’une homélie dans la basilique Notre-Dame du Liban a Harissa, Mgr Raï a ajouté que « le Liban ne peut plus tolérer ce genre de pratiques politiques, qui ont détruit l'économie de l'État et l'argent public, perturbé les organismes de contrôle des ministères et des administrations et jeté le peuple dans un état de pauvreté absolue ».
« Nous avons besoin d'un nouveau leadership impartial caractérisé par un esprit de responsabilité et par la connaissance des affaires économiques, capable de sortir le pays de la crise économique étouffante, et caractérisée par la conscience et le courage de lancer des réformes dans les secteurs les plus cruciaux», a souligné le prélat maronite.
« Le Liban a d’abord besoin de stabilité politique pour résoudre ses crises, une stabilité tributaire d’un gouvernement qui assume toutes ses responsabilités en tant que pouvoir exécutif, et d’un nouveau président de la République qui lance une approche constructive », a martelé Mgr Raï.
Il a indiqué que «la situation du pays ne permet pas de désaccord sur la forme de gouvernement, ni de doute au sujet de la tenue des élections présidentielles", ajoutant qu’il s’agit de « deux échéances constitutionnelles qui ne tolèrent pas de désaccord ».
Il a ajouté que le pays a besoin du pouvoir exécutif, « qui est partagé selon la Constitution entre le président de la République (articles 49-53), le président du Conseil des ministres (article 6), et le Conseil des ministres (articles 65- 72) ».
Et de poursuivre : «Sans ce pouvoir exécutif avec ses trois composantes, le Liban ne peut pas négocier avec le Fonds Monétaire International, mener des réformes, respecter les résolutions du Conseil de sécurité, compléter la démarcation des frontières maritimes, forer pour extraire du gaz, élaborer une stratégie de défense et résoudre le problème des réfugiés et des déplacés».
Sans cela, il n’est pas possible non plus, a ajouté le prélat maronite, de ramener le Liban à son état normal de pays qui applique la neutralité positive et imposer le prestige de l'État, loin de toute ingérence politique et confessionnelle.
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