La Kazakhe d'origine russe Elena Rybakina, 23e mondiale, a remporté samedi à Wimbledon son premier titre du Grand Chelem en battant en finale la Tunisienne Ons Jabeur (2e) 3-6, 6-2, 6-2.
"J'étais super nerveuse avant le match, pendant et je suis très contente que ce soit fini. Je n'ai jamais rien ressenti de tel", a commenté Rybakina sans parvenir à exposer sa joie tout intérieure.
"Pour dire la vérité, je ne pensais pas atteindre la deuxième semaine d'un Grand Chelem à Wimbledon. Alors remporter le tournoi, c'est vraiment incroyable. Je n'ai pas les mots pour dire à quel point je suis heureuse", a-t-elle ajouté.
Agée de 23 ans, n'avait encore jamais dépassé les quarts de finale d'un tournoi du Grand Chelem (Roland-Garros 2021).
Née à Moscou, elle apporte au Kazakhstan, dont elle a pris la nationalité en 2018, son premier titre majeur, hommes et femmes confondus. Le président de la Fédération khazake était d'ailleurs dans les tribunes et a été le premier à la féliciter lorsqu'elle a escaladé ces tribunes pour rejoindre ses proches, dont sa mère et sa soeur.
"Elena m'a volé mon titre, mais ça va !", a pour sa part tenté de plaisanter Jabeur qui a reconnu être "vraiment triste", d'autant qu'elle "essaye d'être une source d'inspiration pour des générations dans (son) pays".
Jabeur, qui a été la première joueuse arabe à atteindre les quarts de finale d'un Majeur, en 2020 en Australie, est la première joueuse du continent africain à avoir joué une finale d'un tournoi du Grand Chelem.
Sur le court samedi, Rybakina est apparue en difficulté avec sa principale arme, le service (0 ace, 58% de premières balles), et a été dominée dans la première manche en commettant en outre beaucoup de fautes directes (17 pour 7 coups gagnants). Elle ne s'est pas procuré la moindre balle de break.
Heureusement pour la Kazakhe, le service s'est mis en route dans le deuxième set.
Elle a passé nettement plus de premières balles (73%, 2 aces) et dominé cette deuxième manche.
Après avoir breaké d'entrée, à 2-1 elle a sauvé 4 balles de débreak, remporté sa mise en jeu et réussi, elle, dans la foulée, le double break pour se détacher 5-1 et tranquillement égaliser à un set partout.
De nouveau, Rybakina a immédiatement pris le service de Jabeur dans le troisième set.
A 3-2, elle a été menée 0/40 sur son service, mais a gagné les cinq points suivants pour se rapprocher un peu plus du Graal.
L'énervement et la détresse ont alors commencé à se dessiner nettement sur le visage de Jabeur tandis que celui de Rybakina se faisait de plus en plus déterminé.
Décidément à l'initiative, la Kazakhe a réussi le double break pour mener 5-2 et servir pour le match.
"J'étais super nerveuse avant le match, pendant et je suis très contente que ce soit fini. Je n'ai jamais rien ressenti de tel", a commenté Rybakina sans parvenir à exposer sa joie tout intérieure.
"Pour dire la vérité, je ne pensais pas atteindre la deuxième semaine d'un Grand Chelem à Wimbledon. Alors remporter le tournoi, c'est vraiment incroyable. Je n'ai pas les mots pour dire à quel point je suis heureuse", a-t-elle ajouté.
Agée de 23 ans, n'avait encore jamais dépassé les quarts de finale d'un tournoi du Grand Chelem (Roland-Garros 2021).
Née à Moscou, elle apporte au Kazakhstan, dont elle a pris la nationalité en 2018, son premier titre majeur, hommes et femmes confondus. Le président de la Fédération khazake était d'ailleurs dans les tribunes et a été le premier à la féliciter lorsqu'elle a escaladé ces tribunes pour rejoindre ses proches, dont sa mère et sa soeur.
"Elena m'a volé mon titre, mais ça va !", a pour sa part tenté de plaisanter Jabeur qui a reconnu être "vraiment triste", d'autant qu'elle "essaye d'être une source d'inspiration pour des générations dans (son) pays".
Jabeur, qui a été la première joueuse arabe à atteindre les quarts de finale d'un Majeur, en 2020 en Australie, est la première joueuse du continent africain à avoir joué une finale d'un tournoi du Grand Chelem.
Sur le court samedi, Rybakina est apparue en difficulté avec sa principale arme, le service (0 ace, 58% de premières balles), et a été dominée dans la première manche en commettant en outre beaucoup de fautes directes (17 pour 7 coups gagnants). Elle ne s'est pas procuré la moindre balle de break.
Heureusement pour la Kazakhe, le service s'est mis en route dans le deuxième set.
Elle a passé nettement plus de premières balles (73%, 2 aces) et dominé cette deuxième manche.
Après avoir breaké d'entrée, à 2-1 elle a sauvé 4 balles de débreak, remporté sa mise en jeu et réussi, elle, dans la foulée, le double break pour se détacher 5-1 et tranquillement égaliser à un set partout.
De nouveau, Rybakina a immédiatement pris le service de Jabeur dans le troisième set.
A 3-2, elle a été menée 0/40 sur son service, mais a gagné les cinq points suivants pour se rapprocher un peu plus du Graal.
L'énervement et la détresse ont alors commencé à se dessiner nettement sur le visage de Jabeur tandis que celui de Rybakina se faisait de plus en plus déterminé.
Décidément à l'initiative, la Kazakhe a réussi le double break pour mener 5-2 et servir pour le match.
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