La célèbre primatologue britannique Jane Goodall a désormais une Barbie à son effigie, a dévoilé son fabricant américain Mattel, qui assure que la poupée est en partie fabriquée à l’aide de plastique recyclé.
https://youtu.be/0VEcOm3qYkU
Le jouet est accompagné de jumelles miniatures, d’un petit carnet bleu et surtout du fameux chimpanzé David Greybeard (littéralement « Barbe grise »), grâce auquel Jane Goodall a pour la première fois pu déterminer que ces primates étaient capables d’utiliser des outils.
« Je suggère depuis longtemps que les filles ne veulent pas seulement être des stars de cinéma », s’est réjouie la scientifique, assurant que « beaucoup d’entre elles, comme moi, veulent être dans la nature à étudier les animaux ».
Mattel n’en est pas à son coup d’essai en matière de poupées féministes ou inspirantes.
Avant Jane Goodall, le fabricant avait déjà sorti des Barbies à l’image de la championne de tennis Naomi Osaka, de la co-créatrice du vaccin contre le Covid d’AstraZeneca Sarah Gilbert, ou encore un modèle anonyme d’« ingénieure en robotique ».
« Pendant mon enfance, il n’y avait pas de modèles féminins », a confié Jane Goodall. « Mes héros, mes modèles étaient Tarzan, le docteur Dolittle... Il n’y avait pas de femmes qui fassent le genre de choses que je voulais faire. »
Aux petites filles qui comme elle voudraient changer les choses, la primatologue recommande d’« aller se balader dans la nature, apprendre à l’aimer et ensuite la protéger ».
AFP
https://youtu.be/0VEcOm3qYkU
Le jouet est accompagné de jumelles miniatures, d’un petit carnet bleu et surtout du fameux chimpanzé David Greybeard (littéralement « Barbe grise »), grâce auquel Jane Goodall a pour la première fois pu déterminer que ces primates étaient capables d’utiliser des outils.
« Je suggère depuis longtemps que les filles ne veulent pas seulement être des stars de cinéma », s’est réjouie la scientifique, assurant que « beaucoup d’entre elles, comme moi, veulent être dans la nature à étudier les animaux ».
Mattel n’en est pas à son coup d’essai en matière de poupées féministes ou inspirantes.
Avant Jane Goodall, le fabricant avait déjà sorti des Barbies à l’image de la championne de tennis Naomi Osaka, de la co-créatrice du vaccin contre le Covid d’AstraZeneca Sarah Gilbert, ou encore un modèle anonyme d’« ingénieure en robotique ».
« Pendant mon enfance, il n’y avait pas de modèles féminins », a confié Jane Goodall. « Mes héros, mes modèles étaient Tarzan, le docteur Dolittle... Il n’y avait pas de femmes qui fassent le genre de choses que je voulais faire. »
Aux petites filles qui comme elle voudraient changer les choses, la primatologue recommande d’« aller se balader dans la nature, apprendre à l’aimer et ensuite la protéger ».
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